• UN SOUFFRE VERS L'ETERNITE

    Un souffle vers l'éternité - Patricia Darré (Page Officielle)  
    aujourd’hui. 

    Depuis 1997, la Terre vit un phénomène d’accélération que nous , humains, nous ressentons vivement, que ce soit dans la notion du temps, que dans le ressenti physique dans la modification de ses fréquences. Ces sensations sont devenues notables depuis 2008, où les transformations que nous subissons ont eu des effets concrets dans nos vies quotidiennes, et étrangement, ces bouleversements ont été similaires dans la vie de la plupart d’entre nous. 
    Cette lente métamorphose continue, provoquant des symptômes particuliers, dissociables de la dépression, et des causes objectives engendrées par l’instabilité socio-économique. 
    Ces nuits que nous vivons très nombreux de la même manière, avec des réveils entre 2 et 4 heures du matin, puis des réveils récurrents à cinq heures. 
    Ces sensations de chaleur intense ou de grand froid intérieur. 
    Ces rêves intenses, qui font ressurgir un passé lointain que l’on croyait avoir planqué dans des vieilles malles et nous laissent sonnés et imprégnés toute la journée. 
    Cette tristesse qui part comme elle arrive, ces larmes qui jaillissent sans raison, cette sensation de solitude au milieu des autres, et ces autres, amis ou famille, desquels on se sent de plus en plus loin , sentant le besoin irrépressible de se construire un nouvel entourage. 
    Contrairement à la dépression, ces « fins » marquent un « commencement » qui s’impose chaque jour un peu plus. 
    Envie d’un nouveau départ, nouvelle activité, enfin de faire ce que l’on a toujours rêvé de faire, et l’on sent que c’est « maintenant « qu’il faut le faire. 
    La spontanéité devient un reflexe. On ne peut plus faire semblant. On dit ce que l’on pense, mais sans provocation , ni agressivité, c’est devenu simplement une priorité. 
    Physiquement, des douleurs étranges apparaissent puis disparaissent, basées , pour la plupart dans le cou, les épaules ou la nuque. 
    Un brouillard visuel et une sensation de grains de sable sous les paupières, ainsi que des bourdonnements dans les oreilles font leur apparition , mais encore là , variable selon les jours. 
    Vertiges, désorientation passagère ou impression d’être hors de son corps sont des étapes que beaucoup d’entre nous ont passées. 
    Bien sûr, en cas de doute, un bon médecin saura discerner et vous rassurer, car , encore une fois, ces symptômes ont la particularité d’être ressenti par bon nombre d’entre nous (hypersensibles), dans leur totalité ou non. 
    En ce qui me concerne, ayant suivi ce chemin également, avant de les reconnaître, j’étais allée consulter, et c’est la perplexité du médecin devant l’absence de pathologie qui m’avait rassurée, avant que je n’apprivoise ces symptômes jusqu’à leur raréfaction. 
    Nous sommes en train de changer, de nous adapter. Beaucoup me pose la question : nous changeons pour le mieux ? 
    Comme je suis laïque, et que je ne colle jamais de symboles religieux à mes propos, je vous répondrai : 
    Nous nous adaptons à une nouvelle période qui arrive, une nouvelle fréquence, qui va gommer nos aspérités et nous inviter à ouvrir nos consciences et devenir essentiels, ne vivant que de l’essentiel. 
    Il y a encore beaucoup de travail à faire dans ce monde turbulent, mais chacun d’entre nous, en prenant CONSCIENCE de ce qu’il est et de ce qu’il devient, peut aider les autres à reprendre le chemin dans la sérénité. 
    Si la négativité est contagieuse, il en est de même pour l’amour, mais cela, hélas, on l’entend moins. 
    Soyez juste conscient que votre corps vous ENTEND et est prêt à appliquer les REFORMES de votre âme. 
    Devenez ou redevenez le capitaine de votre navire, et vivez le changement avec confiance et détermination. 
    Vous êtes uniques et jamais seuls 
    !

    « JOUR 23JOUR 24 »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :