• Selon une étude de l’université d’Oxford, les femmes aux fesses plantureuses sont plus intelligentes que les autres.  Car les graisses adipeuses contenus sont saturées d’Omega 3 qui est la nourriture principale du cerveau.


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  • L’autisme est un handicap neuro-développemental qui affecte la façon dont une personne communique et interagit avec les autres, et plus globalement avec tout son environnement.

    Il est d’usage de parler de « troubles du spectre autistique » pour rendre compte de la gravité variabilité du handicap, autour d’un noyau commun : les difficultés dans les interactions sociales, la communication et les intérêts souvent restreints. Selon les classifications utilisées, il est aussi fait référence à une famille de troubles dits « Troubles Envahissants du Développement » qui incluent l’autisme sous ses différentes formes et des syndromes connexes comme le syndrome de Rett.

    Ces troubles affectent selon les études de prévalence, concordantes de différents pays, environ 1 enfant sur 150. Pour des raisons encore non élucidées, mais à probabilité génétique, l’autisme affecte 3 fois plus de garçons que de filles.

    Un consensus international toujours plus large attribue les causes de l’autisme à une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux. Il s’agit bien sûr d’un environnement de nature biologique. Les thèses présentant l’autisme comme un trouble affectif de la relation parent-enfant sont totalement rejetées par la communauté scientifique. Si elles ont encore cours dans certains services de pédopsychiatrie, c’est au mépris des recommandations et documents officiels.

    L’apparition des signes est parfois perceptible dès les premiers mois de la vie de l’enfant (early onset autism) ou semble ne se produire qu’à partir de 18 à 24 mois (late onset autism). Des études de plus en plus fines, pour permettre un dépistage le plus précoce possible, montrent toutefois des signes subtils mais spécifiques (conduite du regard, absence d’attention conjointe,…) avant 18 mois.

    Le diagnostic doit être posé de façon différentielle à partir de grilles et outils préconisés par les instances officielles : Haute Autorité de Santé – recommandations sur le diagnostic

    Affectant le développement du système nerveux et des fonctions cognitives dès la petite enfance, l’évolution du handicap est lié à la précocité du dépistage et de la mise en place d’un traitement de type éducatif. Ce terme doit s’entendre dans le sens d’apprentissage des compétences indispensables pour son développement futur, compétences qui ne sont pas apparues naturellement, ou ne se développeront pas sans accompagnement adapté, du fait du handicap : la communication prioritairement, mais aussi toute fonction déficitaire que les bilans auront mis en évidence.

    Le rythme des apprentissages est différent d’un enfant à un autre. Pour les formes considérées comme les moins invalidantes (autisme dit de haut niveau, syndrome d’Asperger), les apprentissages généraux, avec un cadre et des approches adaptées, peuvent dans certains  cas, suivre une trajectoire proche de  la normale, les difficultés les plus grandes se maintenant dans les interactions sociales. Pour les formes modérées à sévères, les apprentissages suivent un rythme différent, et nécessitent précisément un accompagnement intensif et précoce qui permettront d’évacuer la plupart des troubles graves de comportement associées à l’autisme.

    Handicap cognitif et d’origine neuro-biologique, l’autisme a la particularité d’être parfois associé à d’autres symptômes neurologiques (épilepsie, troubles du sommeil,..) biologiques (troubles digestifs, désordres immunitaires ou métaboliques,…) ou sensoriels (hyper ou hypo sensibilité de certains sens, ou discrimination sensorielle difficile).


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  • http://www.forcemajeure.com/index.php


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  • Everyday  Consciousness  Development

     

    Exercices d'expansion de conscience conçus et réalisés par Grégory G.

    Traduits, adaptés et complétés par canalisations par L’Aura.

      

    INTRODUCTION

      

    L’Intelligence suprême de l’Univers... Dieu... laquelle créa l’être humain et tout ce qui l’entoure, avait prévu de laisser à l’homme une possibilité de redécouvrir ses capacités perdues et d’utiliser la sagesse qui foisonne dans le monde immatériel. Cette faculté a été donnée à l’être humain dès son origine mais il l’a perdue autant que son aptitude à la comprendre ...

     

    En rupture avec l’intelligence suprême de l’Univers, dépossédé des facultés à l’aide desquelles il contribuait au perfectionnement de la planète terre et qui lui permettaient de la gérer en maître, l’homme s’échoua, tel un vaisseau parti à la dérive et son lien avec l’intellect universel s’émoussa ... Ainsi s’amorça le mouvement de l’humanité, devenue invalide, vers des moyens artificiels de transformation de l’information, des aménagements techniques, des organisations sociales... En bref, de lourds mécanismes destinés, eux aussi, au naufrage.

     Parce qu’il est temps d’éliminer les structures, de dépasser les limites et de briser les systèmes de conditionnement qui retiennent la conscience dans des courants confinés, préétablis. Parce que ces confinements et l’imposition de modèles de pensées anciens ont pour conséquences une conscience limitée destinée à maintenir l’humanité dans une situation d’asservissement et de contrôle, il est temps aujourd’hui d’accéder à la Vérité vraie, de comprendre et d’admettre qui vous êtes vraiment.

     Ainsi, accepteriez-vous de redevenir qui vous étiez, qui vous êtes depuis l’origine ? De briser les tabous, le contrôle auquel vous êtes en permanence soumis par vos gouvernements, votre système monétaire, vos banques, vos marchands d’armes, dictateurs etc... ? Accepteriez vous, non de croire aveuglément ce qui va suivre mais d’envisager honnêtement qu’une autre réalité existe et de tenter l’aventure avant que de condamner en vous conformant de la sorte au but de ceux qui vous gouvernent en vous maintenant dans la peur et l’ignorance ?

     Si tel est le cas, ce qui suit est pour vous.

     Attention toutefois, ces exercices ne sont pas de simples méditations, de simples techniques de visualisation. Ils sont destinés à permettre à l’homme de retrouver ses facultés perdues et de restaurer, parallèlement, l’harmonie sur terre ...

      

    QUI EST GRIGORI PETROVITCH GRABOVOI ?

     www.drugg.ru

    Grigori Grabovoi est né le 14 novembre 1963 dans un petit village du Kazakhstan situé dans la zone légendaire de SHAMBHALA.

    Il est diplômé de la faculté de mathématiques appliquées et de mécanique. Dr es’ Sciences en physiques et mathématiques avec post grade en mécanique de l'Université d'Etat de Tachkent, Gregori GRABOVOI est également diplômé de la faculté de médecine de Moscou.

    Il est académicien auprès de l'Académie Internationale de l'Informatisation, l’Académie Russe de la Sécurité (secret défense et police), l’Académie des Sciences Médicales et Techniques, l'Académie russe des Sciences Naturelles. Nommé académicien honoraire de l’Académie d’Astronautique de Russie, Conseiller du Service Fédéral Russe de l'aviation, chef du département d’Etudes Supérieures des Entreprises d’Etat « for advanced studies », Research Center, Academy of Sciences of New-York, idem Academy of Sciences Italy, pour ne citer que quelques uns de ses titres et nominations.

    Enfin, Gregori GRABOVOI est membre associé de l’ONU, membre du Conseil consultatif de l’UNESCO etc, etc…

    Très jeune, Gregori GRABOVOI a manifesté d’importants dons extrasensoriels et une capacité unique de voyance, de prévision et de traitement, toutes attestées.

    Par sa clairvoyance et ses compétences personnelles de contrôle à distance ainsi que de manipulation de la matière physique il réussit à guérir des centaines de personnes malades, même en phase terminale de cancer et de VIH, sans que ses interventions ne nécessitent sa présence physique, tous des faits certifiés par la médecine traditionnelle et par déclarations notariées. Ses capacités exceptionnelles et les faits y relatifs ont été reconnus par l’ONU comme par l’UNESCO.

    Engagé par le Service Fédéral de l’Aviation de la Russie et l’Académie Russe de Sécurité il a, à l’aide de sa clairvoyance, passé « sous scan » des centaines d'avions "MIR RF", la station orbitale "Atlantis" et les vaisseaux

    spatiaux russes pour vérifier leur état de fonctionnement avant l’envol et en cours de mission.

    Toutes ses interventions ont été consignées dans les minutes des agents du Centre de Contrôle des Entreprises de l'Industrie russe de l’Aviation et des Vols Spatiaux.

    Enfin, GP Grabovoi s’est vu décerner la médaille d'argent de Pavlov "Pour le développement de la médecine et la santé » dont un certificat lui conférant le titre de «meilleur guérisseur mondial».

    Les découvertes de GP Grabovoi ont été enregistrées aux Nations Unies (reg. № 002.027. 190.25.01.2001g.), reconnues priorité internationale,

    approuvées également par l'UNESCO et le ministère de l'Education Russe et qualifiées de discipline indépendante couvrant les domaines de la santé, de l’éducation, de la science, de l’art et de la culture, de la gestion prévisionnelle, de la gestion politique, de l’ économie, de la sociologie et de la religion.

    Le 25 mars 2001 Grigori Petrovitch Grabovoi a créé une Fondation de son nom destinée à la diffusion et à la promotion de ses enseignements sur « l'épargne et le développement harmonieux » (certificat de numéro d'enregistrement d'Etat en Russie 002. 027.190) jumelée à l'association internationale «Union pour la diffusion de l'enseignement de Grégoire Grabovoi sur l'épargne et le développement harmonieux". L’enseignement de GP Grabovoi comprend la formation aux manuels de cours « Technologies de prévisions et d'alertes", formation approuvée par le Ministère de l'Education de la Russie et la chaire internationale du réseau UNESCO / MTSOS, "Le système unifié de connaissances» et les «Cadres d'applications des champs d'informations ». Elle couvre également son livre « Réparer l’organisme grâce aux combinaisons chiffrées » et un ensemble vidéos contenant les enregistrements d'un cours magistral intitulé "Prévenir les processus de catastrophes globaux menaçant le monde" soit un mécanisme destiné à prévenir, à l’aide de technologies naturelles, sociales, politiques et autres, toutes catastrophes sur un plan mondial.

    Enfin, sont transmis également les enseignements utiles à la matérialisation, la dématérialisation, la téléportation comme le régénérescence/reconstruction des tissus endommagés, en bref le contrôle de l’esprit sur la matière.

    D’autres méthodes d’interventions et matériaux se trouvent enregistrés au nom de Grigory GRABOVOI au sein du Ministère des Situations d'urgence de la Russie.

    Maîtriser les technologies de la conscience énoncées dans l'enseignement de Grégoire Grabovoi sur « l'épargne et le développement harmonieux », permet non seulement de contribuer à un développement harmonieux de la planète terre mais de régler nos propres problèmes de santé comme de gérer l’ensemble des événements de notre vie.

    L’ensemble des interventions de Gregori GRABOVOI sont consignées en trois volumes démontrant l’authenticité du travail effectué par l'auteur en matière de clairvoyance, de guérison et de contrôle à distance, comme en matière de transmission de renseignements couvrant aussi bien le passé comme l’'avenir.

    Le premier volume contient l’ensemble des faits accompagnés de leurs diagnostics précis relevant des interventions de Grégori GRABOVOI sur les avions et hélicoptères de compagnies aériennes civiles en matière de technologies de l'espace et de processus de production. Il comporte également ses diagnostics extrasensoriaux au sujet des avions présidentiels et gouvernementaux comme de leurs passagers.

    Le deuxième volume couvre tous les faits relatifs à la maîtrise de la « conscience éloignée ». Enfin, le troisième, comporte l’ensemble des diagnostics et contrôles relevant de ses interventions en matière médicale, notamment ses guérisons spectaculaires sur des cancéreux et malades atteints du VIH en phase terminale et ses matérialisations d’organes.

    L’ensemble est signé par les « témoins » concernés, soit les malades ayant bénéficié de ses interventions, le tout sous contrôle médical et notarial après auditions des spécialistes en tous genres dépêchés par les organisations d’état concernées comme par l'ONU.

    Pour les documents relatifs à l’enregistrement – dont les documents notariés – les travaux de GP Grabovoi, ses prédictions ainsi que d’autres éléments cf http://www.drugg.ru, également http://www.grigori-grabovoi.ru, le journal "VU-météo" et son site: http://www.prognoz-web.ru

    Enfin, le site http://www.mediatext.ru/docs/16117"- article "Le besoin de transparence. "

     

    BIS REPETITAS

    Parce que lhomme demeure confiné dans lignorance il ne lui est que difficilement possible dappréhender sans à priori et lesprit libre dautres réalités.

    Ainsi lorsque les faits sont en contradiction manifeste avec ce qui est perçu comme « usuel » ou « vrai » par la conscience collective de lhumanité, lorsque la démarche a pour seule fin le sauvetage de celle-ci advient linadmissible

    En 2006, après avoir créé son propre parti politique et annoncé sa participation aux élections présidentielles russes de 2008, annonçant concurrencer en cela Poutine, Gregori GRABOVOI, jugé comme une menace pour l’état russe, a été arrêté, puis emprisonné et condamné pour des chefs daccusation sans rapport aucun avec ses activités, des chefs daccusations montés de toutes pièces. Au service de l’état les médias ont très largement contribué à la campagne de dénigrement, inondant le pays dinformations et de témoignages tronqués. Malgré des milliers de manifestants, la Vérité na pas été en mesure de prévaloir.

    Quant à Gregori GRABOVOI celui-ci a été contraint, sous la menace, d’ « attester » publiquement du caractère prétendument « mensonger » de ses déclarations. Si la manipulation nest pas passée inaperçue aux yeux de nombreux citoyens russes, bien que condamnés au silence, elle na pas été au-delà des frontières.

    Même les organisations pourtant internationales ayant attesté des travaux de Gregori GRABOVOI, de la véracité de ses interventions comme de la qualité de celles-ci et de leurs importance pour le futur de lhumanité sont demeurées muettes, laissant linacceptable se produire !

    Quant à Gregori GRABOVOI celui-ci a lancé à ses sympathisants un appel : laissez advenir

    Linterprète de quelques uns des travaux de Grigori GRABOVOI nentend pas ici polémiquer ou développer cet aspect de lhistoire et se bornera à reproduire ci après lexplication quun de ses contacts russes a bien voulu lui donner au sujet des évènements :

     From: (adresse mail retirée par souci de confidentialité)

    To: lecerclemagique.o@gmail.com

    Subject: You are Welcome!

    Date: Thu, 26 Nov 2009 01:48:45 +0300

    Hi LAura,

    I think, we're able to do ourselves, as we did before. Our enemis are frightened to death even by our names. The problem is there are LOTS of them. These are Government structures, who promoted that experiment with Resurrection, and Grabovoy was the chief scientific Director. He was tightly associated with the federal security service (FSS) or FSB in Russian. Ex-KGB. Just renamed. And with the military department too. It's all the same as CIA and Pentagon in the US. When he became a menace for the Power with million of his followers, they had nothing to do, but to arrest him and isolate. Thus, the process slowed down and almost declined without the Leader. It's a human catastrophe, as you sure understand. And FSB had to shut all the mouths to avoid an international scandal. They forced Grabovoy to deny his own Teaching, to deny the Reality of Physical Resurrection (he did it), and his organisation DRUGG, his lawers, and many of the Adepts followed his lies. So they almost destroyed the egregore. Do you understand? And they continue doing it now. We try to restore the people's Faith, to restore the egregore, and we exchange informational and energy blows with the enemy. Translate the draft of our Allegation to the International Criminal Court (ICC), (look at the English Wikipedia article about Grabovoy) to protect their asses from Grabovoy's fate. It's full of lies, and containes statements that Grabovoy never taught to Resurect Physically, and never did it himself. In our Allegation we have easily proved the opposite. Some of our enemies have done so much harm (result - thousands of people with severely devastated psychics and health) that we have charged them the death sentence. Some of them have been already executed.

    Anxious to see you at our Forum!

    Regards,  Asgard. »

     Jusquau printemps dernier, Gregori GRABOVOI était toujours en prison en Russie, pays dans lequel les droits de lhomme comme le bien de lhumanité entière nont que peu de poids face à lavidité de ses dirigeants.

    Il a été libéré depuis et son enseignement continue à se diffuser.

    Cet enseignement est à débuter par les exercices qui vont suivre non sous l’égide dune croyance servile mais avec un esprit ouvert et lucide, lesprit qui caractérise un être libéré de tous liens, une ère et un être dune génération nouvelle.

    Expansion de conscience et « pilotage » de votre réalité Ces exercices sont destinés à vous permettre de développer votre santé, de booster votre immunité, vous faire progresser sur votre chemin spirituel et gérer consciemment votre existence en obtenant la manifestation, dans votre quotidien, des évènements désirés ainsi que de nombreux autres vous apportant succès et abondance tout en vous harmonisant avec le pouls de l’Univers.

    Pour chaque jour vous sont suggérés trois exercices destinés à vous permettre d’acquérir la maîtrise de votre existence. La base, autant que le but principal de ces exercices, consiste à vous concentrer sur un objectif, un souhait que vous voulez voir se réaliser.

    Chaque exercice correspond à un jour du mois.

    Sous réserve du cadre donné, vous êtes libre de déterminer le but de votre concentration, soit votre objectif, par exemple vous guérir d’une maladie, accéder à la compréhension du monde etc … Cependant, votre objectif, quel qu’il soit, devra toujours être en harmonie avec le plus grand bien de tous et de l’Univers, ce qui signifie le bien être universel, soit celui de l’ensemble de la création. De la sorte, tout en développant votre spiritualité et en apprenant à créer consciemment votre quotidien vous exécutez parallèlement un “travail de fond” qui a pour dessein de venir en aide à la terre. Ainsi la canalisation correcte de vos intentions peut permettre d’obtenir de l’Univers les informations utiles à la réalisation de vos objectifs propres comme à sauver la planète d’un désastre.

    Pratiquement les exercices de concentration s’accompliront comme suit :

     Pendant quelques instants videz complètement votre mental de tous soucis, vous allez vivre dans la sérénité et ouvrir la porte de votre coeur à la paix.

    Essayez de goûter profondément à ce sentiment de paix. Il n’y a plus aucune révolte en vous. Tout n’est qu’harmonie, sérénité. La vie vous paraît très facile, il n’y a plus de dualité ni en vous, ni autour de vous. Ouvrez complètement votre coeur, votre conscience à cette paix qui vous pénètre, qui vous inonde. Vous pouvez lui donner la couleur bleu-violet.

    Inondez la pièce ou vous vous trouvez de lumière dorée. Baignez totalement dans cette lumière. Tout est paisible en vous, tout est parfait.

     

    1. Vous allez maintenant procéder au choix de votre objectif de concentration. Cela fait, vous lui donnerez une forme géométrique, par exemple une sphère : Cette sphère sera la représentation de votre objectif.
    2. Votre objectif défini, préparez-vous spirituellement à mettre en place les évènements nécessaires à sa réalisation tel que s’y prendrait Dieu, le Dieu que vous êtes. Visualisez ensuite l’évènement désiré se produire dans votre sphère.
    3. Puis, alors que votre concentration du jour portera sur un objet ou un sujet bien précis, visualisez parallèlement votre sphère, localisez son emplacement géographique et amenez-la tout doucement dans la région la plus éclairée/élevée de votre perception.

     

     

    Il s’agit là d’une façon de procéder mais vous pouvez en trouver d’autres. Ces concentrations sont très efficaces et permettent de parvenir à une compréhension globale/totale de l’Univers et d’en maîtriser les mécanismes. L’efficacité de vos concentrations va dépendre de la perception que vous en avez et de votre faculté à intégrer les concepts y figurant. Tentez d’utiliser une approche créative et de suivre votre intuition.

    Votre réussite nécessite toutefois un certain travail sur vous-même lequel sera à la mesure de la force de votre égo. La force de votre égo, quant à elle, dépend de l’importance que vous avez mis à sa construction, notamment de la pression subie de la part de vos parents, de vos proches pour devenir « quelqu’un de bien », de « socialement correct » disposant d’une place importante, d’un bon revenu et de beaux diplômes. Autant de luttes qui ont été des luttes contre vous-même car vous n’étiez pas à l’image du moule que l’on vous présentait mais, parce qu’on vous l’a demandé, vous y avez cru et vous êtes forgé une opinion sélective de la réussite. Malheureusement, cela vous a écarté de votre âme, de vos facultés originelles. Il faut donc faire un retour en arrière, un dépoussiérage.

    Le premier exercice de vos concentrations quotidiennes portera systématiquement sur un élément de votre réalité intérieure ou extérieure.

    Le second sur des combinaisons chiffrées et le troisième sur une concentration plus globale, d’ordre universel.

    Vous pouvez écrire votre combinaison chiffrée sur une feuille puis vous concentrer sur elle. D’autres méthodes sont possibles.

    Pour les séries de 9 chiffres vous pouvez imaginer que vous-même et votre objectif êtes localisés à l’intérieur de sphères flottant dans l’espace. Sur la surface interne de votre sphère se trouvent gravés les chiffres correspondant à votre série numérique du jour. Cherchez les chiffres qui vous apparaissent les plus lumineux puis, après avoir reliés ces chiffres à vos pensées, soit à votre objectif, connectez-les à la sphère qui vous représente et dans laquelle vous vous trouvez.

     Pour les séries de 7 chiffres, essayez de voir les chiffres gravés sur les différentes faces d’un cube et de les déplacer en fonction de votre ressenti du moment dans le but d’obtenir une efficacité maximale dans la mise en

    place des évènements nécessaires à la réalisation de votre objectif.Vous pouvez également relier chaque chiffre avec un élément de votre réalité - intérieure ou extérieure - vous pouvez par exemple relier un chiffre avec une émotion ou un ressenti, un autre avec un arbre, etc… Procédez tel que vous le sentez. Au travers de cette façon de faire vous faites se fondre les chiffres dans des manifestations de la réalité ou des perceptions de votre conscience.

    Ces exemples ont pour seul but de vous guider, de vous suggérer quelques portes ainsi que différentes approches de gestion possibles. Vous pouvez bien sûr changer votre façon de procéder en fonction de votre motivation, du but qui sous-tend votre démarche et des symboles attachés à la manifestation des nombres.

    Quelle que soit votre approche, vous réaliserez très vite que vous êtes en train d’acquérir plus d’efficacité au quotidien et de parvenir à une meilleure gestion de votre temps, ce qui constitue un atout non négligeable dans la vie de tous les jours.

    Lorsque, pour une raison ou une autre, vous serez amené à devoir intervenir de suite dans le cours d’un évènement de votre existence ou à prendre une décision dans l’instant vous constaterez que votre conscience a répondu à l’appel avant même que vous n’ayez été en mesure de vous en apercevoir. Quel que soit votre but aujourd’hui, qu’il s’agisse de participer à la restauration de la planète terre, de sauver une espèce en voie de disparition, de vous guérir vous-même ou un de vos proches d’une maladie ou simplement d’acquérir une plus grande abondance vous constaterez que ces exercices procéderons peu à peu, parallèlement à la réalisation de votre objectif, à la ré harmonisation de tous les paramètres de votre existence.

    Gardez à l’esprit l’aspect personnel de ces exercices, votre développement spirituel ne pouvant s’accomplir selon un procédé mathématique.

    Sachez aussi que, bien que vous vous soyez maintenant fixés un objectif, objectif que vous avez pour intention de réaliser, cet objectif existait déjà, votre âme l’ayant programmé bien avant son incarnation. Dès lors, en vous concentrant sur vos objectifs vous allez, parallèlement, réaliser les buts que s’était fixés votre âme avant son incarnation, buts qui ne sont pas des objectifs de développement personnel mais des contributions au développement de la planète entière.

    En parvenant à la réalisation de ces objectifs vous ressentirez (au niveau de votre âme, du Créateur) que c’était exactement là ou vous deviez vous rendre au cours de cette première étape.

    C’est pourquoi, lors de vos concentrations se voient intégrés à chaque exercice des éléments se référant à l’harmonie universelle des êtres et de l’Etre car seule la restauration de l’harmonie perdue permettra de sauver la

    terre et l’ensemble de la création de la destruction massive à laquelle elle se voit journellement confrontée. Votre but premier consiste ainsi à créer – ou à re-créer – les conditions nécessaires à la manifestation de cette harmonie perdue, conditions dans lesquelles le danger, la peur, le manque et la maladie n’existent pas et qui permettront, une fois restaurées, le développement infini de l’ensemble de la création et de tous les êtres dans l’harmonie du grand tout.

    C’est là le premier but auquel tendent ces exercices et ce pour quoi ils sont destinés mais, c’est grâce à cela également, qu’ils portent en eux le pouvoir de faire se manifester, parallèlement, les évènements de votre quotidien que vous souhaitez voir se réaliser.

    Au travers de ces exercices de concentration, vous trouverez votre chemin, atteindrez graduellement vos paliers d’évolution (tels que préalablement fixes par votre âme) dans la joie et vous sauverez vous-même comme d’autres en vous ouvrant à la vie éternelle.

    Au travers de ces concentrations vous serez en mesure d’influer, de façon consciente, quelque situation ou évènement que ce soit. Votre assimilation correcte de ces exercices aura pour effet de vous permettre de retrouver la liberté perdue que vous avait initialement conférée le Créateur et d’utiliser vos facultés pour voler au secours de votre planète en restaurant l’harmonie nécessaire à un développement paisible et harmonieux de l’ensemble de la création.

    Vous sont offerts ici des exercices pour 31 jours.

    (Si vous accomplissez vos exercices en février, mois qui ne possède que 28 jours, vous devrez, après votre concentration du 28, passer à celle du 1er, en raison de l’arrivée du 1er mars). Cela signifie que le jour du mois doit toujours correspondre avec le numéro de votre exercice de concentration, les séries numériques y figurant portant les vibrations du jour. Chaque heure du jour comme de la nuit est favorable à ces exercices. Pour chaque jour vous définirez le nombre et la durée de vos concentrations. Il est recommandé de procéder systématiquement à un exercice de concentration avant un évènement important.

    Si le premier des trois exercices quotidiens qui vous est proposé vous paraît trop compliqué, vous pouvez, dans un premier temps, vous contenter des deux autres. Quel que soit le cas de figure vous obtiendrez des résultats. Avec la pratique, vous comprendrez peu à peu le 1er exercice et pourrez l’intégrer dans vos concentrations quotidiennes.

    1er jour du mois :

    1. Concentrez-vous sur votre pied droit. C’est le point qui vous relie au monde extérieur, votre point de référence. Reliez-vous en pensées à la terre et mentalement appuyez-vous sur vos jambes comme si elles vous servaient de relai entre terre et ciel.

    Prenez conscience de ce que la terre est la base de tout, votre point d’ancrage. Votre pied droit représente aussi bien la continuité que le pivot de la création, le point de création.

    Développez votre état de conscience à partir de ce point en tant que point de départ de la création. Reconnaissez / redécouvrez le principe de la création à la base même de la création de la nature et de votre corps physique.

    Sur la base de ce même principe vous êtes maintenant capable de créer n’importe laquelle de vos réalités extérieures. La compréhension autant que l’intégration de ce phénomène est la base de votre concentration de ce jour comme des suivantes.

    Cela étant, vous n’avez pas besoin de vous focaliser sur ce mécanisme assez complexe en profondeur, vous pouvez simplement vous concentrer sur votre pied droit et imaginer des évènements de nature à provoquer la matérialisation de votre objectif.

    Les mécanismes de votre concentration tels que mis en route vont fonctionner automatiquement et vous obtiendrez la matérialisation de l’évènement souhaité, et ce de façon harmonieuse, car ces concentrations appellent l’harmonie.

    Cette concentration peut être exécutée autant de fois que vous le souhaitez.

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 4 5 4 2 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 8 4 5 1 3 2 4 8 9

    3. Portez votre attention sur le monde ainsi que sur chaque chose qui s’y trouve. Ressentez chaque chose, chaque particule du monde, comme partie de vous-même. Percevant cela, ressentez comme une brise légère vous parvenir de chaque chose, souffle léger et pur portant en lui l’information contenue en chacune d’entre elles.

    Lorsque vous les percevrez toutes comme partie de vous-même avec, portant néanmoins en elles, leurs propres particules de conscience, alors vous percevrez l’harmonie qui se dégage de la création.

    Notes personnelles :

    2ème jour du mois :

     

    1. Concentrez-vous sur le petit doigt de votre main droite et, en même temps, gardez à l’esprit l’évènement que vous souhaitez voir se produire.

    Vous pouvez effectuer cet exercice de nombreuses fois au cours de la journée au travers de concentrations de durées différentes.

    Basez-vous pour cela sur votre intuition.

    Au cours de cette concentration vous pouvez exercer une légère activité ou toucher quelqu’un avec votre petit doigt, cela n’interfèrera pas.

    Il est important que la concentration soit dirigée sur le petit doigt et non sur les autres doigts de la main, ainsi la matérialisation de l’évènement interviendra de façon harmonieuse.

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 3 1 2 5

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 8 4 9 9 9 5 1 2 0

     

    3. Considérez l’harmonie du monde comme en interconnexion avec votre être, connectez-vous à l’harmonie de la planète, sentez la relation intime qui vous lie à elle et créez (re-créez) le monde à l’image de Dieu.

    Observez le monde et vous y verrez apparaître les images et évènements du passé.

    Observez le monde et vous y verrez apparaître les images et évènements du présent.

    Observez le monde et vous verrez qui vous êtes vraiment. Ce monde existe de tous temps et pour toujours.

    Notes personnelles :

     3ème jour du mois :

     

    1. Portez votre attention sur une plante (réelle) et observez-la tout au long de votre concentration. Une autre approche consiste à imaginer une plante, un arbre, une fleur et, ensuite, à visualiser l’image ainsi créée.

    Entrez maintenant en harmonie parfaite, en relation profonde avec le monde végétal. Pour faciliter votre tache, vous pouvez aussi visualiser une immense forêt dans laquelle vous vous fondez. Ressentez la vie de ce monde. Vous êtes lui, il est vous.

    Tout en vous concentrant sur votre plante, créez l’évènement désiré et voyez-le se réfléchir à la lumière de la plante, à la lumière émanant de la plante. Construisez cet évènement et voyez-le réellement au travers du phénomène dit « de réflexion » de la plante. L’énergie émise par la plante, par un arbre, une fleur, peut transformer beaucoup de choses en vous si vous prenez conscience de la puissance de cet échange, Cette méthode est appelée méthode de réflexion.

    L’événement ainsi construit sera source d’harmonie à l’image de la plante en tant que partie intégrante du Cosmos.

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 5 1 4 2 5 8 7

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 4 2 1 9 5 4 3 2 1

    3. Portez votre concentration sur la réalité et vous découvrirez de nombreux mondes. Observez votre monde, rapprochez-vous en et laissez le “s’amplifier”, croître … Observez le monde tel un spectateur, un témoin, soyez le spectateur silencieux de ses nombreuses transformations, écoutez son témoignage.

    Puis, approchez-vous de votre planète, de votre terre et posez vos mains sur elle. Percevez toute la chaleur et l’accueil qui s’en dégagent, n’ayez crainte d’emmagasinez tout cela puis glissez-la vers votre coeur. Posez-la sur votre poitrine.

    Acceptez d’entendre dans son murmure la voix du Créateur. Soyez à l’écoute de ce qu’il vous suggère, de ce qu’il a à vous transmettre. Accordez votre propre savoir avec le sien et recevez, en retour, la vie éternelle.

    Notes personnelles :

     

    4ème jour du mois :

    1. Concentrez-vous sur le monde minéral, des pierres ou des cristaux de quartz, choisissez le minéral qui vous convient le mieux. Le principal est de pouvoir entrer en harmonisation parfaite avec ce monde. Vous êtes lui, il est vous.

    Essayez de ressentir ce qu’il est comme il ressent ce que vous êtes. Imaginez autour de votre cristal une sphère d’informations, au sein de cette sphère vous pouvez visualiser l’ensemble des évènements nécessaires à la réalisation de votre objectif.

    Dès lors vous allez déplacer ceux-ci pour les placer directement dans votre propre sphère. Ainsi vous possédez le contrôle des évènements …

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 5 1 9 4 7 2 6

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 7 1 5 0 4 3 7 6 9

     3. Observez toujours la réalité depuis une perspective harmonieuse. Les méthodes se suivent. Lorsque vous marchez dans la rue vous pressentez que chaque pas procède du précédent et vous amène en direction d’une réalité nouvelle. Lorsque vous êtes assis, vous avez le choix de vous lever. Chaque mouvement est différent. Chacun prend naissance dans celui qui le précède et déclenche le suivant. Appréhendez le monde comme perpétuel, comme infini, un monde dans lequel chaque mouvement vous touche vous et vous seulement. C’est un monde « monolithique » qui s’offre à vous et vous offre les méthodes concrètes utiles à sa maîtrise, à sa gestion harmonieuse.

    Approchez vous en, placez-le au creux de vos mains et vos mains deviendront le monde qui contient votre monde. Vous percevrez alors que vous touchez du bout des doigts l’éternité – le monde de tous les mondes. Ce monde sera unique pour chacun. Ce sera le monde que vous avez choisi, comme tout un chacun. Créez ce monde, un monde idéal pour vous comme pour tout être issu de la création, « Le monde idéal » est un monolithe. Voyez la perfection en tout être, et votre propre perfection telle qu’elle se reflète dans votre monde monolithique, qui est monolithe pour tous.

     Notes personnelles :

     5ème jour du mois :

     1. Concentrez-vous sur des éléments de votre réalité extérieure, les éléments de votre quotidien issus de vos interactions avec d’autres éléments de cette même réalité, avec l’Univers.

    Choisissez un thème – un sujet bien précis - puis focalisez votre conscience sur ce même thème, faites-la interagir avec lui. De ce fait vous transférez à ce « sujet » partie de votre état de conscience et de vos connaissances qu’il transférera à son tour à d’autres éléments de votre réalité extérieure de la même façon que la lumière du soleil se reflète sur certains éléments lesquels viennent à leur tour en illuminer d’autres.

    Ainsi si vous vous concentrez sur un « sujet » – un « objet » - vous interagissez avec lui et l’information ainsi transmise permet audit « sujet/objet » de la transmettre à son tour à son entourage.

    Votre but consiste à préciser et à illuminer ce qui a été envoyé par le « sujet/objet ». Vous pouvez vous concentrer sur cela, puis imaginer les évènements en découlant. Au travers de cette méthode vous agissez au travers de votre concentration sur un élément secondaire, lui-même issu de votre concentration.

    Ainsi, sur la base d’une vision directe – ou sur des considérations d’ordre logique – vous découvrirez ce que cet élément, après être entré en interaction avec vous, a transmis à son entourage. En vous concentrant sur ce protocole, soit ce second élément de concentration, imaginez maintenant l’évènement désiré et il se matérialisera.

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 0 8 4 3 2 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 9 4 3 2 1 0 5 4

     3. Lorsque vous levez les yeux en direction du ciel, vous savez que la terre existe. Lorsque vous regardez la terre vous avez conscience qu’au dessus de vous se trouve le ciel. Lorsque vous vous situez sous terre, vous savez qu’au dessus existe le ciel.

    Cette vérité est source d’un monde d’éternité. Connectez la terre au ciel et vous verrez que tout ce qui existe en bas existe au dessus.

    Rendez-vous à la source, allez à la rencontre de votre esprit et connectez vous aux êtres déjà ressuscités sur terre, localisez-les géographiquement.

    Déplacez l’infini, faites-le pénétrer la conscience collective et vous découvrirez alors l’éternité et le génie de la création. Parce que le Créateur vous a fait don de tout ce que vous possédez, parce que vous créez à son image. Il est proche de vous. Il est votre ami et vous aime, tendez-lui vos mains et créez tel qu’il crée.

    Vous êtes sa création. Seul le Créateur est capable de créer des créateurs. Soyez en harmonie avec lui, soyez à son écoute et éternels dans chacune de vos manifestations et de leurs aspects. Tout ce que vous voulez changer peut l’être en tous temps. Tout ce que vous souhaitez créer, vous pouvez le créer à l’endroit même où vous êtes et en tous temps. L’éternité existe pour atteindre la perfection. Les actions du Créateur comblent l’éternité.

    Vous êtes ceux que le Créateur suit de son regard. Vous êtes ceux qui sont destinés à réaliser l’œuvre du Créateur dans l’éternité. Vous êtes vous-mêmes reflets d’éternité. Le Créateur, présent en vous, agit au travers de vous dans chacune de vos actions, de vos réalisations. Faites appel à lui et, en retour, il vous sera fait don d’harmonie.

     Notes personnelles :

    6ème jour du mois :

     

    1. Vous allez modifier la densité de la structure de votre conscience au travers de la perception d’objets éloignés.

    Cette méthode permet la matérialisation de l’évènement désiré en un lieu bien déterminé, soit au lieu même de votre situation.

    Vous pouvez également utiliser cette méthode pour empêcher la survenance d’évènements peu agréables ou de certaines situations à un endroit donné ou au lieu-même de votre situation. Pour ce faire vous devez dissoudre l’information négative en dispersant l’état de conscience qui y est relié en ces lieux. La dispersion des informations négatives liées à un évènement précis conduit à la dispersion (disparition) de l’évènement lui-même.

    La matérialisation d’évènements désirés s’accomplit, quant à elle, au travers d’un processus de concentration consciente, basé lui-même sur des éléments distants/éloignés (non présents dans notre état de conscience actuel) de votre conscience. Nous avons déjà abordé cette méthode. Dans le cadre de celle-ci vous allez utiliser des éléments de votre conscience qui ont pour caractéristique de permettre la perception d’objets distants. Vous pouvez vous servir pour ce faire de véritables objets que l’on aura ôtés de l’endroit où vous vous trouvez ou visualiser des objets imaginaires. Dans les deux cas vous allez utiliser les éléments distants (absents) de votre conscience. Si, simultanément, vous imaginez l’évènement désiré se produire au lieu même de votre situation, alors il se manifestera.

    En fait plus la zone de votre conscience dans laquelle se situe l’évènement est éloignée, plus rapide et complète sera la réalisation de l’évènement souhaité dans le lieu préalablement déterminé par vous-mêmes. En rapport avec des forces de destruction, vous pouvez utiliser la méthode de la dispersion laquelle dispersera l’information négative et, de la sorte, empêchera l’évènement indésirable de se produire.

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 9 5 4 8 3 7

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 9 4 3 2 1 0 9 9

    3. Observez les bouleversements dont votre planète est la victime et, prenez conscience de ce que bien que bouleversée, “comprimée” ou “dispersée”, elle demeure un monde d’harmonie, d’abondance et d’unité.

    Toute la richesse et la force du Créateur sont à la base de ces états de transitions. Vous pouvez accéder à cette harmonie au travers de la prise de conscience de votre propre éternité et de ce que rien ne sera en mesure de changer cet aspect de la manifestation de la volonté de Dieu.

     Notes personnelles :

     7ème jour du mois :

     1. Concentrez-vous sur les zones les plus éloignées de votre conscience.

    En pratique, nous nous connectons à ces espaces temps lorsque notre regard se perd dans les nuages au loin ou dans certaines « choses » éloignées, tel le feuillage d’un arbre.

    Il vous faut intégrer de nombreuses informations pour procéder à la matérialisation d’un objet ou à la réalisation d’un évènement en particulier. Or, ce sont les régions de votre conscience les plus éloignées qui permettent de procéder à un traitement super rapide desdites informations. En fait, plus la zone de votre conscience sera éloignée, plus rapide sera le processus.

    Sachant cela vous observez ou imaginez un nuage au loin et, ce faisant, y intégrez simultanément en le superposant votre objectif – ou les images nécessaires ou correspondantes à sa réalisation (vous pouvez utiliser n’importe quel support en lieu et place du nuage pour cette pratique). Ainsi vous parviendrez à la matérialisation de votre objectif de la façon la plus rapide qui soit.

    L’évènement désiré se matérialisera dans l’harmonie de la terre car un nuage n’est pas de nature à détruire ou à blesser quelque être que ce soit.

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 4 8 5 3 2 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 9 9 1 8 4 3 2 8 8

     3. Prenez conscience que le monde se développe et croît en rapport direct avec vos pensées et actions, lesquelles se doivent d’être en harmonie avec la volonté divine.

    Notez avec plaisir que tout le monde reconnaît/respecte la terre. Ainsi, si vous devez être amenés à procéder à un changement, rappelez-vous de conformer vos actions au bien et à l’élévation de tous. De cette façon, vos actions (projets) aboutiront, votre santé s’en trouvera renforcée et la terre entière bénéficiera de l’abondance issue de votre intervention car la richesse, le bien être et l’abondance de tous sont les buts véritables de votre incarnation dans ce monde laquelle conduit au Royaume de Dieu et à la vie éternelle.

     Notes personnelles :

     8 ème jour du mois :

     

    1. Aujourd’hui vous allez apprendre à gérer les évènements en fonction de leurs « résultantes », de leurs fruits. Imaginez-vous assis près d’un lac.

    Observez le frissonnement de ses eaux, derrière ce frissonnement apparaissent de légères vagues, les vagues sont les « résultantes » du frissonnement des eaux.

    Regardez comment une feuille frissonne dans un arbre :

    Nous pouvons considérer les feuilles comme les manifestations de l’arbre qui frissonne sous la brise. Soudain, des nuages recouvrent le ciel et la pluie se met à tomber :

    Chaque goutte de pluie peut être considérée comme la résultante du nuage existant préalablement.

    De nombreux exemples existent autour de vous. Prenez un seul de ces exemples, de ces évènements et concentrez votre attention sur une de ses résultantes, la plus insignifiante soit elle. Simultanément, gardez à l’esprit votre objectif. Les évènements nécessaires à sa réalisation se produiront.

    Cette méthode est très efficace :

    En travaillant à partir de cette base, il vous sera possible d’influer sur les évènements du passé.

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 5 4 3 2 1 8

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 9 8 4 3 0 1 2 6 7

     3. L’infini contenu dans les courbes du chiffre 8 constitue un lien entre les mondes, ce qui a déjà été abordé lors des 7 jours précédents. Lorsque votre monde se connectera à l’infini des mondes, la joie envahira votre âme qui percevra alors le bonheur de l’ensemble des mondes/de l’Univers. En appréhendant chaque particule du monde comme représentant la manifestation de la joie de tout être vous percevrez que la joie est éternelle comme l’est l’abondance. Dans cet état d’être, cet état de joie levez vos mains en direction du ciel et découvrez l’influx de la puissance de Dieu lequel vous ouvrira les portes de l’éternité. Observez l’éternité là où elle est, voyez-la, là ou elle n’est ni supposée être ni même exister et voyez-la là où elle existe de tous temps et existera à tout jamais et vous serez créateurs d’éternité, à l’endroit même ou elle demeure invisible à d’autres yeux …

    Lorsque vous parviendrez à observer et à créer ainsi l’éternité, vous-mêmes serez éternels pour toujours et en tous les mondes. Vous êtes des Créateurs à l’image de Dieu et l’éternel vous a créé à son image. En construisant

    l’éternité vous vous façonnez vous-mêmes. En vous accomplissant vous mêmes vous êtes créateurs d’éternité de la même façon que l’éternité elle-même est créatrice d’éternité.

    Notes personnelles :

     9 ème jour du mois :

    1. Concentrez-vous de façon à transférer le maximum de couches localisées dans les zones les plus éloignées de votre conscience vers les zones les plus proches de celle-ci. Votre perception doit être identique pour les deux zones. Ce faisant, vous parviendrez à développer une impulsion unique dont la puissance vous permettra de créer n’importe quel élément du monde.

    Lorsque vous serez parvenus à maîtriser cette technique vous serez un “as en matière de pilotage de votre propre réalité” capable de maîtriser tous les aspects de votre existence en les conservant sous l’égide d’une vibration positive ce sur la seule base de votre volonté et au travers d’une véritable spiritualité.

    L’impulsion unique développe un état spirituel hors du commun. Cet état n’est pas connecté à la pensée qui n’existe plus vraiment à ce stade.

    A cette étape de votre développement seul demeure un ressenti, un désir orienté vers le bien, la création et l’harmonie.

    Cet état d’être conduit à la transformation positive, favorable de tous les évènements de votre existence. Au travers de cette méthode de concentration vous pouvez accéder à une forme particulière de perception.

    La perception se situe dans votre conscience, elle est partie de votre conscience et vous devez la formater, la structurer pour parvenir, au travers d’elle, à influer sur les évènements.

    La méthode ci-dessus implique une connaissance approfondie du ”pilotage de la réalité” basé sur la conscience.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 4 3 2 1 0

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 9 1 8 9 2 1 4 5 2

    3. Observez la terre, voyez-la telle le Coeur de l’Univers et prenez conscience de ce que tout ce qui existe dans la nature, que ce soit végétal, qu’il s’agisse d’un être humain ou d’un animal, d’une molécule, d’une création antérieure ou future, etc…Tout, absolument tout, est issu du Créateur.

    Dieu a montré le mécanisme de la création de toute chose. En observant comment Dieu a créé, vous créerez à votre tour. Pour accéder à la compréhension de cela il vous faut faire taire votre égo, votre moi. Ce n’est qu’alors que vous réaliserez toute la place qu’il occupe et de quelle façon il agit sur le monde. Cela fait, laissez la place à votre vrai moi, celui qui est le reflet de votre âme, et laissez le grandir et s’expandre autour de vous au rythme de l’Univers, laissez le devenir un monde en soi. Vous êtes ce monde. Vous êtes cette réalité. Observez cela au travers du regard de la terre, de tout être vivant, au travers de vos propres yeux et vous verrez alors votre âme se refléter dans votre regard. Observez alors le monde au travers du regard de votre âme et vous le verrez tel qu’il est vraiment. Vous pouvez y apporter des modifications si vous le jugez nécessaire. Vous verrez le monde comme un monde d’éternité, vous comprendrez comment en assurer la maîtrise pour atteindre l’éternité. Vous saurez toujours quel est votre chemin lorsque vous observerez le monde de cette façon.

     Notes personnelles :

     10 ème jour du mois :

    1. Dirigez votre concentration en une seule impulsion sur tous les objets qui vous entourent, tout ce que couvre votre réalité extérieure et fixez cette image dans votre esprit au cours même de cette impulsion unique.

    D’abord préparez-vous à cette perception nouvelle pour vous.

    Puis tentez de reconnaître tous les objets extérieurs perçus au cours de ce seul instant, de cette impulsion.

    Au stade initial de votre pratique, vous risquez de n’obtenir qu’une perception partielle de votre environnement. Ne vous inquiétez pas. Votre but consiste à obtenir une perception complète de l’ensemble de votre environnement ce que vous n’obtiendrez qu’après quelque temps de pratique.

    Toutefois, même au tout début de votre pratique, vous obtiendrez quelques informations sur chacun des objets vous entourant ne serait ce que la perception de leur existence. Pour obtenir/extraire les informations contenues dans un objet, vous devez trouver le centre de votre concentration, son coeur puis vous préparer à envoyer l’impulsion. Ainsi, vous pourrez appréhender chaque objet, vous pourrez accéder à tous les domaines de l’information nécessaires à une gestion parfaite des évènements. Plus, au travers de cette méthode, vous parviendrez à appréhender d’objets simultanément, plus vous serez aptes à prendre le contrôle de sources d’informations.

    Voici un exemple concret de résultat obtenu au travers de cette pratique.

    Imaginez que vous voyiez un ordinateur. Au travers d’un seul regard vous aurez intégré son fonctionnement, son utilisation et ce qu’il est en mesure de vous apporter. Cette méthode de concentration permet d’extraire n’importe qu’elle information de n’importe quel objet parce que vous apprenez ainsi à prendre le contrôle des secrets que recèle chaque chose. L’accès à l’information s’accomplit de façon logique et directe, sur une base spirituelle.

    Au travers de ces dix premières concentrations vous possédez les bases fondamentales de votre maîtrise. Toutefois vous pouvez développer ces exercices en obtenant d’autres informations au travers de la relation de causalité (causes - effets) qu’entretien chaque objet avec son environnement soit avec différentes zones d’information. Vous pouvez également développer les connaissances déjà acquises en abordant l’information au travers d’un contrôle global. Je vais néanmoins poursuivre cette présentation mais de façon plus succinte.

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 4 3 1 2

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 8 9 4 1 5 3 2 1 0

     3. L’union de deux nombres, le un et le zéro, vous donne la possibilité d’observer le monde dès son origine, lorsque le zéro se trouvait inclus à l’unité.

    Votre création débute lorsque vous augmentez le pouvoir du 1, de l’unité en y ajoutant le 0 pour parvenir au 10.

    Votre action – ou création – selon ce principe devra impérativement intervenir dans le respect de l’harmonie du tout. Vous devez prendre conscience de ce que chacune de vos actions peut augmenter considérablement de façon qualitative et quantitative vos “manifestations” (créations). Vous-mêmes êtes une « manifestation » de ce monde.

    Harmonisez-vous avec ce vers quoi tend votre regard. Surveillez vos pensées, comme vos paroles et vos actes. Soyez présents partout à la fois, où que vous soyez, quel que soit le lieu de votre présence physique. Emplissez l’espace tels les créateurs que vous êtes. Votre propre harmonie doit ouvrir la voie en direction de l’Eternité. La résurrection n’est autre qu’un élément de cette même éternité, comme il en va de l’immortalité. Vous devez puiser en vous l’Eternité véritable, celle dans laquelle l’immortalité et la résurrection ne sont autres que des cas parmi d’autres, simples conséquences de celle-ci. Soyez les créateurs de toutes choses. Vous devez pouvoir imaginer clairement et reconnaître pour vrai ce qui vient d’être dit comme ce qui va suivre, comme il en va des principes d’immortalité et de résurrection car c’est la vie même dans ce qu’elle a d’immortel qui est à la base de l’Eternité, comme de la Paix et des fondements d’un monde nouveau capable d’accueillir de nouveaux êtres.

    Vous devez comprendre que vos problèmes et ce vers quoi se dirigent vos pensées créent - donnent naissance – à de nouveaux mondes que vous construisez au travers de votre conscience collective jusqu’à leur donner forme d’Eternité. Ce sont ces mondes qui seront vôtres lorsque vous aurez gagné l’Eternité. Cependant votre éternité résonne déjà en vous, elle est déjà partie de vous, tel que, additionnés, 1 et 0 s’unissent en dix. Vous êtes éternels et immortels, il vous faut simplement en prendre conscience.

    Parvenez à ce niveau de prise de conscience par l’action basée sur la logique, tel que l’union du un au zéro crée l’action, et l’éternité se manifestera au travers de chacune de vos actions, au travers de chacune de vos créations et au travers de chacun de vos pas.

    Notes personnelles :

    11 ème jour du mois :

     

    1.     Portez votre attention sur les interactions existant entre vous et les animaux. Par exemple, vous cohabitez avec un chien, un chat ou un perroquet. Ce règne a une très grande importance pour votre équilibre, pour votre vie. C’est le plus proche de vous dans la compréhension. Il est facteur d’équilibre. Choisissez maintenant un animal pour entrer en harmonie parfaite avec lui. Essayez de ressentir sa vie en vous et tout ce qu’il a à vous transmettre, à vous faire comprendre. Pensez aux interactions issues de vos contacts quotidiens avec vos animaux au niveau le plus profond, quel est le sens de ces contacts, de cette communication de votre point de vue et du leur ? Comprendre et harmoniser le processus des pensées et de perception de tous les participants à cette interaction, à cette réalité, vous permettra de pénétrer la structure du contrôle de la réalité.

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 2 3 4 8

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 5 6 1 4 3 2 0 0 1

     

    2.     De la même façon que vous passez du 1au 10 en y ajoutant un 0, vous obtenez le chiffre 11 en additionnant le 1 au 1. Le 11 est la manifestation du monde, la personnification de la paix, celle qui se trouve au fond de vous et de chaque être et qui est accessible à tous. Vous êtes un être dont chacun peut percevoir et partager le développement harmonieux. Partagez votre expérience avec vos pairs et recevez en retour, pour cadeau, l’immortalité.

     

    Notes personnelles :

     

    12 ème jour du mois :

     1. Portez votre concentration sur des évènements qui impliquent de rassembler – ou d’assembler – certains “objets”. Par exemple une oie qui aurait perdu une plume. Dans tel cas, il est nécessaire que vous vous concentriez sur l’action même de « restauration ». Comment allez-vous procéder pour restaurer l’ensemble ? Essayez de comprendre le phénomène, d’entrer dans le processus de cette restauration.

    Un autre exemple, une feuille tombe de son arbre, comment procéder pour la remettre en place et obtenir que l’arbre retrouve sa composition initiale ?

    La pratique de la concentration sur la réunion d’éléments épars – séparés de la réalité – en un tout cohérent qui représente la norme permet de parvenir au contrôle de la réalité, de votre quotidien.

    Dans cette concentration, comme dans beaucoup d’autres, vous pouvez vous définir vous-mêmes comme les sujets de votre concentration. Par le biais de cet exercice vous parviendrez avec le temps à restaurer n’importe lequel de vos organes.

     2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 4 3 2 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 4 8 5 3 2 1 4 8 9

     3. Unissez-vous au monde, à son essence, joignez-vous à votre terre et unissez-vous à elle dans le processus menant à sa restauration : Que percevez-vous ? Qu’elles ont été les conséquences de vos actes sur votre terre ?

    Prenez conscience de ce que vos actions sont l’essence, le coeur même de votre planète qui, en tous temps et à chaque instant se calque sur vous, harmonise ses pulsations aux battements de vos cœurs. Prenez conscience que le Créateur vous a transmis ses pouvoirs et souhaite s’unir à vous. Vous devez êtres capables de vous unir au Seigneur là où il se trouve, là où règne son esprit. L’Union avec le Créateur se réalise dans le développement de votre esprit, de votre conscience. Dans la progression véritable de celle-ci en direction du divin, là ou se situe votre réelle créativité. Vous progressez en direction de l’Eternité, ce qui revient à rejoindre le Créateur.

    L’immortalité vous est acquise par l’union véritable avec le Créateur.

     Notes personnelles :

      13 ème jour du mois :

     1. Concentrez-vous sur les éléments légèrement épars d’un objet appartenant à votre réalité extérieure, à votre quotidien Observez cet objet.

    La nature même de celui-ci est sans importance. Il peut s’agir aussi bien d’un camion, que d’un palmier ou d’une pierre. Prenez conscience des divers éléments composant cet objet. Le camion, par exemple, peut être vu comme un assemblage d’éléments distincts.

    Vous pouvez approcher de cette façon n’importe quel objet, à l’exception de l’être humain qui est toujours à considérer de façon holistique. Dans sa globalité. C’est une loi universelle. Tout autre objet peut être approché au travers de ses différentes parties. Votre tâche ici consiste à déterminer les liens ou interconnexions existants entre les différentes parties de ce même objet. Lorsque celles-ci vous apparaîtront, pensez à visualiser simultanément l’évènement désiré, tel la guérison d’une personne, ou l’acquisition de richesses, de clairvoyance etc... De cette façon vous prendrez le contrôle de cet évènement et développerez également plus avant vos capacités de gestion ou « pilotage » de la réalité.

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 5 3 8 4 4 8

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 5 4 3 2 1 9 1 5

    3. Partez à la découverte des visages de ceux qui ont participé à la création du monde, allez à la découverte des mécanismes mêmes qui sont à la base de la création de votre terre, allez la découvrir telle qu’elle existait au jour même de sa création … Ressentez au plus profond de votre être que vous existiez déjà en ces temps. Transposez ce sentiment sur ces visages, ces mécanismes. Tout autour de vous, chaque chose, chaque objet – que son origine soit naturelle ou artificielle – est à l’échelle du Créateur. Le Créateur s’incarne en chaque objet, en toute chose sur lesquels se porte votre regard.

    Votre manifestation – en termes de créations - n’est autre que la terre laquelle reflète dans ce qu’elle est devenue votre volonté, votre planète terre qui, à son tour, donne naissance à des créateurs. En procédant de cette façon vous serez en mesure d’accéder à toutes les technologies constructives qu’elles soient intellectuelles, spirituelles ou structurées en termes de développement, de progression de votre être, le tout, toujours, sur une base de développement créatif. Considérez cela comme un droit inhérent à chaque être vivant, à chaque objet présent dans votre quotidien et aux informations qui s’y trouvent liées. Ainsi vous irez droit à la rencontre de votre âme et de Dieu lui-même.

    L’identité – et l’unité - du Créateur et de la création constituent la base même de l’harmonie terrestre, laquelle a existé en tous temps, en toutes choses et dans la compréhension de chacun. Le Créateur a façonné chacun de vous individuellement et simultanément à la fois. De ce fait vous-mêmes êtes en mesure de créer à son image, de façonner le monde en tant qu’êtres propres, uniques, pour le plus grand bénéfice de l’humanité entière, en chaque espace-temps.

     Notes personnelles :

     14 ème jour du mois :

     1. Concentrez-vous sur des objets mouvants.

    Observez-les et posez-vous les questions de savoir pourquoi les nuages se déplacent, pourquoi la pluie tombe, pourquoi les oiseaux volent ? Pourquoi tout cela ? Cherchez à percevoir le sens de chaque chose, de chaque évènement...

    En vous concentrant ainsi et en gardant simultanément à l’esprit la réalisation de l’évènement désiré vous prendrez une part active à sa matérialisation. Parallèlement vous améliorerez vos capacités de gestion en vous autorisant l’accès aux mécanismes sources de vos créations.

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 5 8 3 1 4 2 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 9 9 9 8 8 8 7 7 6

     3. Voyez vos mains comme reflétant la lumière de la vie, comme des “mains de lumière”, percevez vos doigts, ils reflètent la lumière de vos mains en faisceaux plus fins, plus précis encore. Sentez votre corps, voyez la douce lumière qui en émane, cette lumière c’est celle du Créateur, c’est la lumière de l’amour, du bien être et de la santé pour chaque être vivant, pour la terre. C’est la lumière de cet enseignement sur la vie éternelle.

    Aujourd’hui, vous êtes en mesure de percevoir une étincelle d’éternité, de comprendre cet enseignement. Vous pouvez également – si vous le souhaitez-vous adresser à moi en pensées et me solliciter si vous avez besoin d’aide. Vous pouvez, bien sûr, vous adressez à moi à tout moment et requérir mon soutien dans le cadre de votre progression en direction de la vie éternelle et du développement de votre potentiel de création pour le bien être de la terre entière. Joignez-moi en pensées et je vous guiderai.

    Vous pouvez appliquer ces connaissances à vous-mêmes ainsi que les transmettre plus loin. Reconnaissez simplement avoir tiré cela de mes enseignements. Vous pouvez ce jour comme en tout autre vous connecter à moi. Même hors espace temps, vous pourrez toujours vous tourner vers moi pour me demander de l’aide, pour converser, pour me questionner à propos d’un évènement en particulier ou, simplement, parce que vous en ressentez le besoin. Vous êtes libres, tels que vous l’avez toujours étés. Acceptez ceci comme un postulat et transmettez-le plus loin, toujours pour le bien de tous.

    En retour, il vous sera fait don de l’immortalité. Vous recevrez l’éternité telle un cadeau là où chaque chose à sa place, où chaque chose co-existe dans l’amour. Ce principe est une clé. Il s’applique à chacun d’entre vous. Vous êtes des êtres immortels, vous êtes des parcelles d’éternité.

    Notes personnelles :

     

     15 ème jour du mois :

     

    1.     Le deuxième jour du mois, il vous a été demandé de vous concentrer sur le petit doigt de votre main droite. Aujourd’hui vous pouvez-vous concentrer sur n’importe qu’elle partie de votre corps (un autre doigt, un ongle etc…) tout en effectuant votre concentration comme vous l’avez effectuée précédemment, c'est-à-dire en gardant à l’esprit, au cours de votre concentration, la matérialisation de l’évènement désiré.

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 7 7 8 8 0 0 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 5 3 2 1 4 5 8 9 1

     3. En ce quinzième jour du mois, tentez de ressentir toute la grâce de Dieu, laquelle a permis la descente de l’esprit universel dans la matière. Cet esprit qui rend grâce à Dieu pour sa création et le statut conféré lequel lui

    permet de reproduire l’Univers dans toute son immensité.

    Ressentez la gratitude émanant de toutes choses, de tout être vivant, de tout animal pour la relation que vous entretenez avec elle, avec lui. Ressentez la gratitude et l’amour émanant d’un autre être humain. Essayez de comprendre, de réaliser tout l’amour qui est aussi le vôtre à leur endroit, celui que vous leurs portez. Création, gratitude, compassion et bonté font partie intégrante de l’amour, du sentiment d’amour. L’amour de tout être envers l’ensemble de la création n’est autre que la manifestation du Créateur lui-même qui façonne le monde selon votre compréhension des choses et votre acceptation. Vous êtes les manifestations de l’amour du divin qui lui-même est la représentation de l’amour en lien permanent avec chacun d’entre vous en tant que bénéficiaires directs de sa bonté divine, en tant que dépositaires de ses dons. Allez à sa rencontre, il est présent en toutes choses. Répondez à son appel, son invitation résonne partout à la fois. Il est présent, avec vous, en ce moment-même, là où vous êtes. Vous êtes dans son mouvement, vous êtes la manifestation-même de son immortalité. Respectez-le en ses qualités. Il a créé l’immortalité pour permettre le développement harmonieux de chaque être. Prenez conscience de ce que le monde est éternel et manifeste votre éternité. Prenez conscience de ce que vous êtes vous mêmes des créateurs et créez l’éternité, éternellement. De ce que le Créateur vous a fait don de son immortalité lorsqu’il vous a créé à son image, lorsqu’il a créé le monde.

    Notes personnelles :

     16 ème jour du mois :

     1. Concentrez-vous sur les éléments de votre réalité extérieure qui se trouvent en contact direct avec votre corps, votre peau.

    Rappelez-vous de cette phrase de notre enfance : « le soleil, l’air et l’eau sont nos meilleurs amis ». Au cours de cette concentration, tentez de vous reconnectez à vos « meilleurs amis » et de comprendre l’interaction/l’interrelation existant entre vos projets et les éléments, entrez en harmonie avec eux.

    Ressentez la chaleur, la caresse du soleil, son contact sur votre peau, soyez à l’écoute des sentiments ou des émotions que cela suscite en vous. Entrez en harmonie parfaite avec l’élément feu, adressez-vous mentalement à lui et dites lui combien il vous est précieux. Honorez sa force et sa beauté.

    Ressentez maintenant le souffle du vent, comme il vous enveloppe, ressentez sa caresse. Il peut être doux et caressant à la fois puis en rafales, violent et s’affaiblir à nouveau. Mettez vous en harmonie, en relation, avec l’élément Air, sentez le caresser votre visage, entrez en relation avec un vent paisible, un vent parfumé, un vent rafraîchissant. Projetez tout votre amour sur ce vent afin qu’il ne nuise jamais aux hommes, à la nature, à tous les autres règnes. Sentez- le s’immobiliser subitement sous l’emprise de l’humidité et de la chaleur, lesquelles se manifesteront à leur tour sur votre corps.

    Ressentez maintenant l’effet rafraîchissant de l’eau lorsque vous nagez ou prenez votre douche. Visualisez-vous immergés dans un petit ruisseau, très limpide et très pur. L’eau vous caresse, elle vous parle, elle vous aime, vous l’aimez. Elle chante pour vous la mélodie de l’amour. Elle est pure et sereine.

    Sortez doucement de votre ruisseau, le soleil caresse votre peau nue, allongez vous sur terre, vous êtes dans une belle prairie. Ressentez le contact avec la Terre, cet élément si précieux à la vie. Sentez vous en parfaite harmonie avec elle. Faites un échange d’Amour, un échange d’énergie. Prenez conscience de ce que vous êtes fait de cet élément terre, vous êtes elle, elle est vous.

    Vous pouvez accomplir ces concentrations à tous moments et à chaque saison, en hiver soyez à visage découvert. Par temps chaud, surtout en bord de la plage, laissez votre corps entier jouir de l’exposition aux éléments. Si vous le pouvez, ajoutez-y à chaque fois le contact à la terre en vous couchant à même le sable ou sur la terre. Ces concentrations vous permettront d’entrer en interaction consciente avec les forces de la nature, les éléments dont vous parviendrez peu à peu à comprendre instinctivement les mécanismes secrets et à déchiffrer les fonctionnements.

    Au cours de votre pratique, gardez à l’esprit l’évènement que vous souhaitez voir se réaliser et l’Univers se chargera de sa matérialisation

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 4 3 2 1 2

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 2 3 5 6 7 0 9 1

    3. Percevez l’harmonie en toutes choses et où que vous soyez. L’harmonie est l’attribut du Créateur, elle est inhérente à votre développement. Ressentez l’harmonie là où elle se trouve, là où elle sera, là où elle était et a été perdue enfin, là où il ne lui a pas encore été donné de se manifester. Ce sont les fluctuations de l’harmonie dans sa transformation, sa transfiguration en direction de la vie éternelle… Allez à la rencontre de vous-mêmes, de votre être intérieur et ressentez l’harmonie en toutes choses. Vous serez alors témoins des vagues de joie et de bonheur que crée l’harmonie, vous les sentirez vous submerger. Vous prendrez conscience de ce que vous êtes en train de créer un monde nouveau. Un monde ou règnent la stabilité et l’harmonie. Vous, les combattants de l’immortalité, oeuvrant pour et par la grâce de Dieu.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

     

    17 ème jour du mois :

     

    1. Concentrez-vous sur les éléments immuables de votre vie courante, de votre réalité « extérieure », ceux qui vous entourent depuis toujours et en tous temps, tels le soleil, la lune, les étoiles, les constellations etc…

    Concentrez vous sur l’un ou l’autre de ces éléments et, simultanément, gardez à l’esprit l’évènement souhaité et l’Univers mettra en route les actions nécessaires à sa manifestation dans votre réalité.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 0 4 5 4 2 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 8 9 1 0 0 0 1 1 1

     

    3. Voyez la vie éternelle en chaque être. Voyez comme la « restauration » du monde et de la paix comme celle de tout organisme, de chaque être est une réalité qui existe et dans laquelle vous vivez. Ressentez aujourd’hui et plus profondément que jamais votre qualité d’être doué d’éternité.

    Avancez, devant vous s’ouvre un chemin. C’est le vôtre. Avancez à la rencontre du Créateur et de son immortalité, allez à la rencontre de votre propre éternité. Célébrez-la. Ressentez la joie qui soudain vous submerge, laissez vous pénétrer par ce sentiment. Cette joie est à la mesure de votre propre éternité, de l’amour sans bornes et de la confiance que vous témoigne le Créateur. La simplicité de sa création est limpide. Il est simple et clair comme vous l’imaginiez. Il est créatif et aimant. Il est votre Créateur et vous ouvre le chemin, vous montre le chemin. Suivez-le, c’est le chemin qui mène à votre destinée.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    18 ème jour du mois :

     

    1. Aujourd’hui portez votre attention sur des objets inanimés (un bâtiment, une table, un arbre, etc..). Choisissez en un en particulier. Cherchez à déterminer l’essence individuelle de cet objet, son sens véritable. Unissez vous à sa signification profonde, faites la vôtre. Maintenant, tentez de comprendre ce que cet objet signifie pour vous, ce qu’il a à vous transmettre, quel est son enseignement. Au cours de votre concentration gardez à l’esprit l’évènement désiré afin de permettre sa matérialisation.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 4 2 1 2

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 8 5 3 2 1 9 4 5

     

    3. Allez à la rencontre de vos pairs, allez à la rencontre des évènements. Vous avancez encore avec incertitude.

    Travaillez sur vos résistances, voyez les décroître, s’étioler pour finalement devenir transparentes et disparaître alors que, devant vous, apparaît un monde d’éternité, une terre nouvelle qui s’ouvre à vous. Allez de l’avant, même si vos pas sont encore incertains et que quelques résistances demeurent, soyez présents partout à la fois, emplissez ce monde de votre présence, vous en avez les moyens.

    Rayonnez. Embrassez l’abondance, embrassez le monde dans tout ce qu’il a à vous offrir en termes de prospérité, de joie et d’harmonie. Allez de l’avant, le regard empli d’éternité. Ainsi s’effaceront les dernières résistances qui s’opposent à une vie nouvelle. Voyez-les s’effondrer, tel un jeu de cartes, face à votre regard nouveau, celui de votre âme.

     

    SI NE VOUS PERCEVEZ PAS DEJA LA LUMIERE DE VOTRE AME, CELLE

    DE VOTRE PROPRE IMMORTALITE, celle qui vous avait été cachée.

    VOYEZ-LA APPARAITRE MAINTENANT AU GRAND JOUR pour éclairer la

    terre enfin restaurée de sa douce lumière.

     

     

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    19 ème jour du mois :

     

    1. Portez votre concentration sur un ensemble de phénomènes ou d’évènements - de votre réalité extérieure, qui sont les résultantes directes (ou conséquences) de la transformation d’un seul d’entre eux : Par exemple, des nuages se transformant en gouttelettes de pluie, des feuilles se détachant d’un arbre, etc... Durant cet exercice, tentez de percer, au travers de votre concentration, les lois capables de prévenir ce processus, le processus de séparation. L’essence même de cet exercice consiste à pénétrer lesdites lois. Au cours de votre concentration, comme pour les précédentes, gardez à l’esprit la réalisation de votre objectif afin d’en permettre la matérialisation.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 2 5 4 3 1 2

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 5 8 4 3 1 9 8 5

     

    3. L’esprit lutte pour conquérir votre juste place en ce monde, de même que lutte votre âme pour que VOUS parveniez à prendre le contrôle de votre intellect, de votre mental. Pour qu’au travers de vous se manifeste le Créateur. Votre conscience est et demeure universelle, partie d’elle est partie de l’Univers. Vous même demeurez qui vous êtes déjà mais l’Eternité sera à la base de toutes vos préoccupations et pensées à tous moments, lesquelles viendront la façonner sous la forme d’une terre nouvelle. Soyez bien ancrés, présents, là où vous vous trouvez « physiquement » mais soyez également partout ailleurs à la fois, soit aussi là ou votre corps physique n’est pas. Vous êtes partout à la fois PARCE QUE VOUS ÊTES éternels, même dans les autres espaces-temps. Les espaces-temps font partie du monde et l’espace s’unira à l’éternité en votre présence. Le temps disparaîtra et vous rejoindrez le lent et régulier mouvement de l’espace. Vous ressentirez au plus profond de VOUS cette étincelle d’éternité qui est vôtre.

    Chaque seconde, chaque pulsation de votre vie est faite d’éternité …

    Prenez conscience de l’immensité comme de l’aspect multidimensionnel de votre nature, du fait que vous pouvez être tout ce que vous voulez. Voyez vous agir depuis un niveau de sérénité profond, avec une sensibilité élevée et une conscience transformée.

    Ressentez l’émotion que confère le sentiment d’éternité, ressentez-la au plus profond de votre être, prenez conscience de ce que vous êtes vraiment.

    Voyez-vous vous unir avec la source de la conscience. Vous savez maintenant que TOUT est POSSIBLE.

    Durant cet exercice, comme dans les précédents, gardez à l’esprit l’évènement qui vous est cher afin de permettre sa matérialisation.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    20 ème jour du mois :

     

    1. Concentrez-vous sur les régions, les zones éloignées de votre conscience. Votre but, aujourd’hui, consiste à venir en aide à d’autres êtres.

    Imaginez qu’il vous faille donner une explication à une personne, une explication au sujet d’une chose ou d’un sujet inconnu de cette personne, qu’elle ne connaît, ni ne comprend car elle IGNORE qu’elle possède en elle, en son âme, la connaissance du TOUT.

    Ainsi, votre tâche va consister à aider cette personne à reconnaître et à comprendre les informations qui sont enfouies en elle car la véritable, l’authentique, l’unique compréhension c’est cela, reconnaître l’information que véhicule une âme, celle qu’elle possède déjà. L’éveil d’un être nécessaire à lui permettre d’accéder aux informations stockées dans son âme se réalise par l’intermédiaire des régions, des zones les plus éloignées de sa conscience.

    Au travers de cet exercice, vous participez activement à la restauration de la planète terre. L’objectif principal, l’objectif fondamental, celui même de votre concentration, consiste à diriger, à guider les évènements en direction d’une issue commune favorable à tous dont l’essence même est la création d’un environnement accueillant destiné à générer l’abondance et le dénouement positif et joyeux de l’existence de chacun. Retenez bien que le fait qu’une personne se trouve physiquement proche ou éloignée de vous est sans importance, chacun bénéficiera de votre gestion des évènements. Il est dès à présent érigé en principe qu’au regard de votre travail les évènements à venir se dérouleront dans la joie et l’harmonie pour tout être vivant.

    Vous pouvez, si vous le souhaitez, inclure ici un exercice supplémentaire ce surtout au début de votre pratique. Concentrez-vous sur des « objets » éloignés tels que le soleil, les planètes, les constellations, etc… Vous n’avez

    pas besoin de les observer à l’aide de vos yeux physiques. Votre but est de reconnaître ces « objets » comme sources d’informations, de les intégrer en termes d’informations.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 5 3 8 4 1 6

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 8 9 1 5 4 3 2 1 9

     

    3. Voyez le monde au travers de la plus haute fonction de votre esprit, depuis le point le plus élevé de votre conscience, du plus profond de votre âme et avec le désir brûlant d’une terre d’abondance pour tous. Considérez le monde tel qu’il est aujourd’hui, tel que vous l’avez créé jusqu’à ce jour et, recréez le, façonnez le comme s’il n’existait pas encore. Changez en l’état, éliminez ses défaillances, concentrez-vous sur votre création afin de permettre à tous que vous soit restituée votre existence véritable, une

    existence harmonieuse, joyeuse et éternelle. Au cours de votre ouvrage vous réaliserez que les défaillances et les vices qui vous apparaissent, ne sont ni défaillances ni vices mais simplement les résultantes de votre méconnaissance des lois universelles.

    Apprenez à reconnaître le monde, à le voir tel qu’il est vraiment, tel que vous l’a, initialement, offert le Créateur. Prenez conscience de la présence du Créateur en toute chose, de la pulsation de la Vérité en toute chose .

    Avancez, un seul pas suffit, cessez de nier l’évidence et abandonnez vos croyances désuètes à jamais. Voyez apparaître la Vérité et prenez conscience de ce que le monde a changé EN MÊME TEMPS QUE VOUS AVEZ CHANGE. Que l’Univers vous appartient, que vous y êtes les bienvenus. Prenez conscience de ce que vous-mêmes êtes des créateurs et créez depuis la nuit des temps et depuis toujours. Prenez conscience de ce que vous assistez le Créateur dans sa création et qu’à votre tour vous créez des « Créateurs », qu’en ce moment même vous êtes sur le point de réaliser l’union entre chaque chose et chaque être. Ce trait d’union c’est votre âme.

    Regardez-la et vous verrez apparaître la lumière de la vie. C’est de votre âme qu’émane cette lumière. Cette lumière est un appel de votre âme vers « le haut », vers l’ascension, vers la paix. La lumière de votre âme éclaire la terre restaurée. Observez ce monde nouveau, celui qu’observe votre âme, observez le au travers du clair regard de votre âme. Allez à votre propre rencontre, au plus profond de vous-mêmes, de vos liens, découvrez l’unité qui est la vôtre avec la terre, avec l’univers. Prenez conscience de ce que ces liens ont, de tous temps, existé. Que vos préoccupations sont dirigées vers votre planète, que votre désir se confond au sien, ressentez la paix qui se dégage de cet enseignement. Votre respect, c’est le respect de votre terre mère. Votre connaissance est sienne. En retour, offrez la au monde, éclairez-le à la lumière de votre âme et vous y verrez scintiller la lumière de la vie éternelle, celle qui vous révèle qui vous êtes vraiment. Vous réaliserez alors que l’immortalité était vôtre de tous temps. Que la vie éternelle comme l’éternité a toujours existé. Qu’elle existe et existera à jamais, qu’elle est en vous, qu’elle est VOUS.

    Pendant votre concentration gardez à l’esprit les évènements souhaités et ils se réaliseront.

     

    Notes personnelles

     

     

     

     

    21 ème jour du mois :

     

    1. Concentrez-vous sur des combinaisons chiffrées dont l’ordre est décroissant. Par exemple 16, 15, 14, 13, 12, 11, et 10. Vos nombres doivent se situer entre 1 et 31. Fiez-vous à votre intuition pour composer vos séries numériques.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 8 1 5 3 5 1 7

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 5 8 9 1 4 8 5 4 2

     

    3. Observez comment le ruisseau se déverse, en cascades, à flanc de montagne, voyez fondre la neige puis, fermez les yeux et essayez – à l’aide de votre imagination – de recréer les mêmes images, vous constaterez alors

    que vos représentations ne diffèrent guère de vos images visuelles. Vous réaliserez que votre corps n’est pas distinct de votre conscience, vous comprendrez comment votre âme construit/crée, recrée votre corps physique. N’oubliez JAMAIS ce qui vient de vous être révélé. En transférant vos connaissances de seconde en seconde, de vous à un autre être, vous créerez depuis un « espace temps d’éternité », ainsi il vous sera possible de reconstruire en tous temps et sans le moindre effort votre corps physique tel qu’il était (composé) à n’importe quel moment de votre existence. Cette création, recréation éternelle n’est autre que la vie.

    Construisez, créez des objets, le tout basé sur le même principe. Construisez des mondes, créez de la joie. Créez du blé, du pain, vos outils.

    Ne réalisez pas d’engins destructeurs. Même dans les objets se manifeste Dieu et la Conscience. Stoppez ces engins s’ils représentent quelque danger.

    Reconstruisez/recréez un corps malade. Ressuscitez celui qui est parti. Prévenez la mort si elle se manifeste. Vous êtes des créateurs et, en tant que tels, agissez dans le respect de la planète terre. Considérez avec respect toute chose issue de la création.

    Soyez respectueux envers tout ce qui existe, est et sera créé dans l’infini des mondes en tant que manifestation sur la Terre et demeurez en harmonie avec chaque être vivant.

    Agissez toujours avec respect pour vos pairs et en harmonie avec vous même. 

    Pendant cet exercice de concentration gardez à l’esprit l’évènement que vous souhaitez voir se réaliser et il se réalisera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

    22 ème jour du mois :

     

    1. Concentrez-vous sur les éléments de votre réalité extérieure destinés à se reproduire éternellement. Par exemple, concentrez-vous sur le concept de l’éternité ou la notion d’espace intersidéral.

    Au cours de votre concentration gardez à l’esprit l’évènement désiré et il se réalisera.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 8 1 5 3 4 8 5

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 9 8 5 1 6 7 8 9

     

    3. Dieu a créé la structure de votre âme. Dieu reconstitue la structure de votre âme. Observez comment Dieu crée et reconstitue votre âme. Votre âme est en train d’être restaurée. Ouvrez-vous au monde, ouvrez votre monde et observez ou et comment Dieu reconstitue, restaure. Observez le mécanisme de rétablissement, de restauration et vous expérimenterez l’amour. L’Amour illumine le monde. L’Amour est la base de toute chose. L’Amour est synonyme de Paix. L’Amour existe de tous temps et pour toujours. Qui a créé l’Amour… ? Observez et c’est votre propre image qui vous sera renvoyée. Votre amour est le fruit de votre création, il est vous mêmes en tant que son œuvre. Créez dans l’amour, dans l’abondance, dans la joie et, toujours, dans la perspective du bonheur et de la vie éternelle pour chaque être, ainsi vous expérimenterez la joie de sentir vous envelopper le bonheur de toute la création. Observez la joie en tout être et votre coeur se remplira de bonheur. Demeurez dans la joie, dans l’harmonie. Votre bonheur a, lui seul, fait de vous des êtres immortels. Observez au travers de vos yeux physiques, observez au travers de votre corps d’immortalité, jetez des regards emplis d’éternité sur vos proches et offrez leur l’immortalité. Voyez, au travers de votre propre éternité, voyez le monde, les êtres qui vous entourent et offrez leurs l’immortalité. Vous verrez alors s’épanouir le monde, tel une fleur qui s’offre au soleil. Cette fleur n’est autre que votre terre, celle que le Créateur a offerte à chaque être vivant.

    Vivez maintenant de votre vie véritable et votre bonheur sera infini.

    Au cours de cet exercice, gardez en mémoire l’évènement que vous souhaitez voir se réaliser et il se matérialisera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    23 ème jour du mois :

     

    1. Portez votre concentration sur la restauration harmonieuse de la terre soit de l’ensemble des éléments de votre réalité en direction du but suprême.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 8 1 5 4 5 7 4

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 5 8 1 9 7 4 3 2 1

     

    3. Portez votre attention sur la planète terre, sur vos tâches quotidiennes.

    Observez les sentiments que cela suscite en vous. Quelles sont les interactions de ces sentiments avec les évènements de votre quotidien, de votre existence en général ? Pourquoi vous hâtez vous à voir se réaliser ou se présenter certains évènements, certaines échéances. Que ressentez vous exactement ? Pourquoi votre existence – ou les évènements majeurs de celle-ci – se déroule t’elle – ils – de telle façon et non autrement ? Différemment ? Le mot « différent » ne saurait définir (caractériser) le monde car le monde est UN et seule cette unité est porteuse de diversité.

    Même le mot « unique » porte en lui une consonance de diversité ? Ressentez l’impact de cette loi universelle sur les évènements de votre quotidien, de votre réalité.

    Examinez votre existence sous tous ses aspects. Cela fait, concentrez- vous sur votre corps physique, sur votre organisme, sur chacun de vos organes, sur chacune de vos cellules. Visualisez votre corps comme une machine très perfectionnée, une machine avec une conscience, avec un coeur. Au-delà de ce véhicule, il y a vous, le conducteur. Celui qui ordonne, qui donne la direction. Consciemment, pénétrez dans votre organisme, visitez-le pour bien le comprendre, pour le connaître, le ressentir. Imaginez votre conscience comme une partie de vous-même, éclairée, elle a votre forme en modèle réduit, comme si vous vous promeniez dans ce magnifique véhicule qu’est votre corps physique. Allez maintenant visiter les endroits de votre corps qui vous font souffrir puis à l’aide de votre conscience divine procédez à la restauration de chacun de vos organes, de chacune de vos cellules, travaillez essentiellement sur tous les points sensibles de l’ensemble de votre être, dans sa merveilleuse unité. Vous pourrez rencontrer des masses sombres, ce sont des énergies bloquées. Eclairez-les de lumière dorée.

    Retirez toutes souffrances et douleurs inutiles, tous blocages, procédez à un nettoyage complet à l’aide d’une magnifique lumière blanche très lumineuse. Inondez toutes les parties de votre corps en souffrance de lumière blanche.

    Maintenant, portez votre attention sur votre conscience et restaurez-la de façon à lui permettre de répondre dorénavant à toutes vos attentes, de résoudre vos difficultés quotidiennes, de répondre à l’ensemble de vos questionnements. Enfin, portez votre attention sur votre âme et laissez-la vous imprégner de cette merveilleuse certitude que tout cela est vôtre, que cela l’a toujours été et le sera pour toujours.

    Au cours de ce processus de concentration, gardez à l’esprit l’évènement désiré, ainsi il se matérialisera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    24 ème jour du mois :

     

    1. Aujourd’hui, portez votre attention sur l’aspect extérieur d’un être, sa silhouette puis, transformez le en un objet de votre choix, aussi loufoque soit il, par exemple un DVD, un stylo, une plante… Vous devez pouvoir visualiser un être humain ou partie de celui-ci se transformer, par exemple, en DVD…

    Interrogez-vous sur la signification de cela. Nous devons pouvoir porter notre attention sur un être humain avant que de pouvoir le transformer en un objet quelconque.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 5 1 8 4 3 2 5

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 8 9 5 4 3 2 1 0

     

    3. Observez, concentrez-vous sur votre réalité. Votre réalité c’est vous, la construction de votre être ou « état d’être ». Considérez l’ensemble des jours passés, du 1er au 24ème et prenez conscience de ce que l’amour est infini. De ce que votre amour est infini. Portez votre regard sur le monde avec amour. Voyez – observez – vos sentiments, comment vous les construisez – comment vous les créez – comment vous créez le monde.

    Appréhendez vos sentiments comme des outils destinés à créer, à façonner la matière à l’instar du Créateur, comprenez en le fonctionnement. Prenez conscience de leur propre éternité en tant que vos créations. Ainsi vous parviendrez naturellement à l’espace d’amour parfait et à admettre votre propre éternité. Ainsi vous serez aptes à créer l’ensemble des évènements de votre quotidien comme à maîtriser la création. Vous êtes parties du Créateur à tout jamais en tant que parcelles d’éternité. Le Créateur, votre Dieu, vous a créé dans l’amour, dans l’espace de l’amour. En tant que créations de Dieu il vous a été donné de connaître l’amour. L’amour n’est autre que la vie et la vie est amour. Exprimez votre amour, manifestez-le où que vous soyez. Manifestez-le dans des lieux choisis, prédéterminés, des lieux qui vous ressemblent.

    L’amour ne s’exprime pas au travers de paroles, de sentiments mais au travers d’actions, de vos propres actions. Vos actions – vos créations – sont l’expression de votre amour au lieu même de leur création.

    Tout au long de cette concentration gardez à l’esprit l’évènement désiré et il se manifestera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    25 ème jour du mois :

     

    1. Concentrez-vous sur des groupes d’objets de votre choix. Combinez les différents groupes d’objets que vous aurez préalablement soigneusement sélectionnés en fonction de leurs caractéristiques réciproques. Par exemple

    un dictaphone ainsi qu’une cassette peuvent être placés dans un même groupe parce qu’ils se complètent mutuellement en une seule et unique fonction. Un ordinateur et une clé USB pourront faire partie d’un autre groupe car ils appartiennent tous deux au domaine de l’informatique. Dans un même groupe, vous placerez le même type d’objets, par exemple deux livres différents. Si vous considérez le contenu de ces livres ceux-ci pourront se voir placés dans des groupes différents. Vous disposez d’une totale liberté.

    Tout en demeurant chez vous et en regardant autour de vous, vous êtes libres d’utiliser, pour votre concentration, les objets vous entourant.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 9 0 0 0 0

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 0 1 2 4 5 9 9 9 9

     

    3. Portez votre attention sur vous-même. Prenez conscience de vos pensées à propos de votre personne, considérez-les comme les résonances de votre émanation propre, observez-vous tel que vous observez les autres, tel que vous observez – vous voyez – le monde. Observez-vous lorsque votre regard se porte sur la branche d’un arbre, les feuilles d’un arbuste, la rosée matinale ou les flocons de neige qui dansent devant votre fenêtre.

    Vous ressentirez alors que ce que vous observez existe de tous temps et prendrez conscience de votre propre éternité.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    26 ème jour du mois :

     

    1. Aujourd’hui, votre exercice consiste à apprendre à voir à la fois l’ensemble et un de ses composants. Imaginez, un instant, un troupeau de vaches face à vous. Vous verrez l’ensemble du troupeau tout en pouvant, à la fois, porter votre attention, tout à tour, sur chacun de ses sujets. Tachez de percevoir comment fonctionne le troupeau, qu’elle est/sera son évolution.

    Vous pouvez également observer une fourmilière et, simultanément, porter votre attention sur une seule fourmi. Cette concentration est destinée à vous permettre d’intégrer à l’aide d’un simple coup d’œil le tout et sa partie, le général et le spécifique, le commun et le privé.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 5 8 4 3 2 1

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 4 8 5 6 1 7 8 9 1

     

    3. Prenez conscience de ce que votre développement est infini. Qu’il est permanent. Impliquez-vous dans ce processus. Réalisez que chaque mouvement est éternel. Que chaque chose n’est autre que le reflet de cette même éternité. Que chaque individu en est la représentation. Que chaque âme est le temple de nombreuses éternités. Représentez-vous de multiples éternités issues d’une seule et même éternité. Vous comprendrez alors que l’éternité est Une pour chaque être.

    A partir de cette compréhension connectez-vous à votre âme, à sa connaissance originaire, profonde et vous réaliserez que vous seuls êtes les créateurs de votre vie, de vos besoins. Appliquez cette connaissance à la création de n’importe quelle chose/objet/connaissance de votre vie et vous réaliserez que vous-mêmes êtes à la base de la création de toutes choses.

    Appliquez ce principe à la gestion ou recréation de votre organisme et vous prendrez conscience de ce que vous avez les pouvoirs de restaurer votre organisme jusqu’à la moindre de ses particules/cellules à tous moments.

    Usez de ce principe dans les soins que vous conférez à d’autres et vous vivrez la joie que suscite la guérison d’autrui. La restauration de n’importe quel être ou objet à son état de santé d’origine constitue une expérience fondamentale sur votre chemin. Créez, répandez le bien, la joie et le bonheur. En retour, vous recevrez les outils correspondant à la technologie la plus évoluée et la plus pure, celle de la conscience en tant que source d’éternité.

    Etendez votre conscience jusqu’aux confins de l’éternité. Dépassez les frontières de l’éternité, surpassez la jusqu’à l’infini en tant que manifestation consciente et personnification du Créateur. Créez la où l’éternité est en expansion. Vous êtes, dès à présent, les nouveaux créateurs de l’éternité laquelle est sous votre contrôle et en votre pouvoir.

    Gardez à l’esprit au cours de cette concentration l’évènement désiré et il se matérialisera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    27 ème jour du mois :

     

    1. Reprenez votre exercice du 9ème jour et intégrez y le développement jusqu’à l’infini de chacun de ses éléments de concentration.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 4 3 4 2

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 8 5 4 3 1 2 0 1

     

    3. Apportez votre aide à ceux qui sont dans le besoin comme à ceux qui semblent ne pas en avoir besoin. Prenez votre existence en mains – créez pour votre propre compte si nécessaire, faites le même si vous le jugez inutile, autorisez-vous à aller de l’avant, à progresser. Cela fait, considérez le mot « aide » dans son sens le plus étendu, dans les plus grandes de ses manifestations, voyez en lui l’incarnation de la bonté.

    Vous êtes la bonté et vous vous devez d’accordez votre aide aux autres êtres.

    Vous êtes le Créateur et l’univers vous vient en aide. Chaque acte de création de votre Créateur est une manifestation de soutien.

    Chaque chose, chaque être de votre propre création vous est destiné, est destiné à vous venir en aide. Vous disposez d’un nombre infini d’ « aides », aussi infini que ceux mêmes qui bénéficient de votre aide. Conduisez vos pairs, votre société vers une terre d’échanges, de partage, d’interconnections entre tous les êtres dans la plus parfaite harmonie, soutenez-vous les uns les autres pour parvenir au bonheur et à la prospérité de tous dans un monde dans lequel le Créateur se réfléchit en chacun de vous et dans lequel chacun d’entre vous poursuit la création à son image. Le monde n’est autre que la création de Dieu se reflétant en chacun d’entre vous. La perception de Dieu en tant que votre Créateur vous permet de saisir au travers de votre âme l’essence même de toutes choses vous amenant ainsi peu à peu à une compréhension globale du monde et de la vie en ce qu’elle a d’éternel. C’est la compréhension-même de ce processus et l’intégration (l’acceptation) du principe de la vie éternelle et de l’immortalité qui ouvrent la porte au développement progressif de cette faculté. L’immortalité est à l’image du Créateur. Pour en bénéficier vous devez créer et co-créer à l’infini ...

    Cependant, il n’est pas nécessaire de « faire » pour créer car vous créez perpétuellement par l’intermédiaire de chacune de vos pensées, chacun de vos mouvements, chacune de vos paroles etc ...

    Durant votre concentration gardez à l’esprit l’évènement désiré et il se réalisera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

     

    28 ème jour du mois :

     

    1. Reprenez pour votre exercice de ce jour votre concentration du 8ème jour en y incluant, en sus, les éléments suivants : comme vous l’avez probablement remarqué, dans votre précédente concentration, ont été additionnés les chiffres du jour : 2 et 7 : 2+7=9. Aujourd’hui, la situation est différente. Vous allez multiplier les chiffres 2 et 8. De cette façon le 8 sera « double » et le programme du 8ème jour se répétera. Toutefois cette répétition ne doit pas nécessairement être identique à la précédente.

    Essayez, par exemple, aujourd’hui, de changer quelque chose en vous mêmes. Par exemple votre vision des choses au cours de cet exercice ou sur le concept même de la concentration. Laissez de côté les vieux schémas,

    imaginez en de nouveaux. Votre compréhension doit entrer en expansion et s’étendre encore et encore en permanence. Votre compréhension ainsi que votre perception de ces concentrations doit être élargie et approfondie. Il s’agit d’un processus créatif destiné à contribuer à votre développement.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 4 4 5 1 2

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 9 5 8 1 4 2 1 0

     

    3. Observez-vous avec le même regard que celui qui est vôtre lorsque vous observez le monde. Voyez le Créateur comme lui-même vous regarde et au travers de cette observation percevez qu’elles sont ses attentes à votre endroit. Cherchez son regard et voyez qu’il se tourne également en direction d’évènements futurs, d’évènements éloignés dans le temps et dans l’espace.

    Votre but consiste à savoir gérer également ces évènements. Vous devez pouvoir transformer n’importe quel évènement sombre destiné à se produire sur la terre en un évènement heureux. En cela consiste votre véritable objectif. Le Créateur a déjà tout créé et réalisé. Votre rôle à vous consiste à suivre sa voie car vous avez été créés à son image. Vous devez créer des mondes harmonieux et maintenir cette harmonie entre eux par le biais de vos créations. Le Créateur a créé les Univers et vous a créé. Poursuivez sa tâche en créant les autres et offrez leur l’abondance ainsi le monde sera vôtre, ce monde créé pour vous, pour tous, pour et par le Créateur.

    Créez pour le Créateur car il vous a créé.

    Créez pour le Créateur parce qu’il est à l’origine de toutes choses. Qu’elle que soit votre création, elle appartient au Créateur. 

    Durant votre concentration gardez à l’esprit l‘évènement que vous souhaitez voir se réaliser et il se matérialisera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

    29 ème jour du mois :

     

    1. Reprenez, de façon globale, l’ensemble de vos concentrations du 1er au 28ème jour. Intégrez-les en une seule et unique impulsion en les percevant toutes dans l’instant. La façon de laquelle vous êtes capable d’intégrer le tout dans une perception unique est déterminante. Analysez votre progression et créez une nouvelle base de travail pour le mois à venir. Vous pouvez imaginer l’ensemble de vos concentrations sous forme de sphère(s) que vous placerez sur une ligne, un trait tiré vers l’infini lequel débutera par le mois à venir. Ainsi non seulement vous mettrez en place vos exercices pour le mois prochain mais projetterez votre développement dans l’infini.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 2 1 4 2

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 5 1 2 9 4 2 1 8 0

     

    3. Observez le monde par l’intermédiaire de vos yeux physiques, percevez-le au travers de vos sens, de vos ressentis. Ressentez-le jusque dans chacune de vos cellules, dans l’ensemble de votre organisme et de chacune de ses manifestations. Observez la terre, voyez-vous vous-même, votre regard est apte à sonder votre âme. Prenez conscience de ce que le monde vous entoure et vous enveloppe. Voyez la réalité qui vous donne vie. Voyez celle qui vous offre l’immortalité. Prenez conscience de ce que quel que soit l’angle auquel vous vous placez la perspective est identique, seule existe cette réalité : la vie et l’immortalité.

    Le Créateur a créé cette réalité comme il a créé la vie éternelle. Il vous voit comme vous vous voyez mais aussi comme vous ne vous voyez pas. Il est votre Créateur. Il est Dieu.

    Tout au long de cette concentration gardez à l’esprit l’évènement souhaité et il se manifestera.

     

    Notes personnelles :

     

     

    30 ème jour du mois :

     

    1. Accomplissez votre concentration sur la base de travail nouvellement créée. Elle servira de fil conducteur pour vos concentrations futures. Portez votre attention sur l’harmonie, l’harmonie qui règne entre tous les êtres et sur la terre. Percevez-la, réjouissez vous en, émerveillez-vous à son sujet.

    Laissez vous subjuguer par sa perfection, laissez-vous subjuguer par la perfection de la création, du Créateur.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 8 5 2 1 4 3

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 8 5 2 1 9 3 5 1

     

    3. Le principe sur la base duquel vous avez créé vos concentrations des jours précédents jusqu’à ce jour est un principe clé. Voyez le mois de février lequel compte 28 ou 29 jours seulement. Si vous aviez débuté vos exercices en février, vous vous trouveriez, aujourd’hui, à effectuer déjà la première ou la seconde concentration de mars. Néanmoins l’harmonie n’en serait pas touchée. Cette transition représente le cycle de la vie éternelle. Recherchez l’éternité dans toutes vos harmonisations précédentes. Voyez l’harmonie dans cet exemple aussi simple soit il. Ce n’est qu’après février que nous pouvons joindre le « 30 » au 1 et au 2 pour retrouver ainsi une unité commune. Le rapprochement de nombres, distincts de part leur nature, nous enseigne sur la nature universelle de toutes choses. Sondez l’univers et tentez de percevoir la nature universelle en chaque chose, en chaque élément d’information. Cherchez la nature universelle dans des éléments de la manifestation invisibles et visibles. Vous verrez, vous ressentirez, vous reconnaîtrez et vous serez inspirés.

    Tout au long de cette concentration gardez à l’esprit l’évènement désiré et il se matérialisera.

     

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    31 ème jour du mois :

     

    1. Concentrez-vous sur des zones séparées d’une même manifestation.

    Par exemple, observez un arbre, le sol sur lequel il s’élève, l’air au dessus et tout autour de lui. Tous ces éléments – regroupés dans notre conscience - sont partie de la manifestation, sont la manifestation. Voyez en eux le processus éternel de la vie qui se reproduit à chaque instant. La vie est éternelle par essence. Laissez-vous imprégner par cette vérité, reconnaissez la pour vôtre. Souvenez-vous que lorsque vous observez le monde extérieur, que vous sentez sa vibration, que vous entrez en communion avec lui vous parvenez à la compréhension de la Vérité, de l’éternité.

     

    2. Série de Sept chiffres pour votre exercice 1 5 3 2 1 0 6

    Série de Neuf chiffres pour votre exercice 1 8 5 2 1 4 3 2 1

     

    3. Portez votre attention sur vous-même. Vous êtes en parfaite santé et, tout autour de vous, les êtres le sont également. Votre vision s’agrandit, vous arrivez à percevoir une grande partie de la population du monde, voyez vos frères humains, tous vivent paisiblement et dans l’harmonie, partout dans le monde. Ils ont la joie au coeur, voyez la lumière qui émane de leurs regards. Tous sont bien nourris et vivent décemment. Des zones auparavant

    sombres et tourmentées de la planète émane une lumière nouvelle. C’est comme si elles vibraient d’un immense Amour Christique. Le monde, la vie, sont éternels. Tous les règnes l’intègrent. De la planète elle-même émane une douce lumière, comme un soleil d’Amour qui inonde toute la création. Les évènements sont créateurs. Votre regard embrasse toute la création de façon aimante et positive. Vous appréciez tout ce qu’il y a de plus beau en chaque être et en chaque chose. Vous les aimez pour ce qu’ils sont. Vous aimez d’un amour inconditionnel. Autour de vous ne coexistent que des évènements positifs et toujours favorables. En conscience, propulsez-vous hors de la planète Terre. Vous la voyez maintenant de très haut et vous projetez sur elle tout l’Amour du Divin. Vos pensées se traduisent en couleurs bleues, violettes et dorées tellement vivantes et lumineuses.

    Tellement réelles…

    Au cours de cette concentration gardez à l’esprit l’évènement souhaité et il se réalisera.

     

    Notes personnelles :

     

     

     

     

    Recommandations finales :

     

    Il vous appartient de définir le nombre et la durée de vos concentrations quotidiennes.

    Définissez préalablement quel est le but le plus important auquel doivent tendre vos exercices.

    Si vous souhaitez un résultat pour une date précise alors incluez ladite date à vos concentrations. Gardez à l’esprit que ces exercices sont créateurs et développent votre potentiel en tant que créateurs. Sur la base de ces concentrations vous allez progresser spirituellement, votre niveau de concentration ira en s’accroissant de façon permanente et infinie. Vous constaterez alors que votre existence s’améliore (c’est là l’une des conséquences directes de votre développement personnel) sur tous les plans et prendrez consciemment votre devenir en mains.

    Ces exercices ont pour but de développer votre niveau de conscience et de spiritualité, de vous apporter la santé parfaite sur tous les plans et d’harmoniser vos progrès avec le pouls de l’univers.

     

    * * *

     

    Soyez enfin qui vous êtes ! 


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  • Denis Vasse 

      « L'homme peut refuser, plus ou moins consciemment, de consentir au désir qui l'habite.

    Dans ce cas, il est comme un aveugle-né. Il est empêché d'interpréter les signes.» 

     

    ·         Vous désirez recevoir notre newsletter à propos des publications de denis-vasse.com ? Indiquez ci- AVOIR DES PARENTS OU ÊTRE FILS

    Chaque fois que surgissent les difficultés qui jalonnent l’inévitable « conflit des générations », les parents font appel, souvent avec courage et loyauté, a leurs droits et devoirs de parents. Ces lignes voudraient seulement montrer que de telles préoccupations risquent fort d’être aussi inutiles que généreuses, s’ils ne perçoivent pas que « le problème » est dans leur relation conjugale avant de se situer dans l’enfant et leur rapport à lui. Combien de conjoints sont en fait surpris de découvrir la vérité du lien à leurs enfants dans celui qui les attache l’un à l’autre. Forts du principe d’éducation qui veut que la tendresse soit le privilège maternel et l’autorité celui du père, bien des parents omettent plus ou moins consciemment de s’interroger sur la source et la condition de ces privilèges exorbitants.

    Impossible de parler à un enfant de son père, sans lui désigner - au moins implicitement - la femme de son père, sa mère. Pas davantage, on ne saurait parler à un enfant de sa mère, sans que lui soit indiqué l’homme de sa mère, son père. Évidence, pensera-t-on, mais évidence difficile à réaliser, car elle concerne notre existence toute entière, jusqu’en son fondement ; évidence en tout cas, qui doit sous-tendre les morales de l’éducation, et permet seule la croissance de l’homme, comme nous essaierons de le montrer, en insistant particulièrement sur le rôle du père.

    vraie et fausse union conjugale 

    Un enfant ne peut naître et grandir si les parents dans leur union même ne se reconnaissent comme autres, n’acceptent cette altérité. Il n’existe pas, en effet, d’unité indivise : l’union suppose et exige des différences. Elle suppose et exige l’autre. Pourtant cette unité sans faille, sans altérité, nous y aspirons sans cesse : elle nous ôterait en effet toute angoisse en nous rendant une bonne fois conformes à nous-mêmes. Projetée en idéal, nous retrouvons cette aspiration dans bien des religions, dans bien des partis politiques et dans bien des familles. Elle trouve sa racine la plus vivace dans la greffe bienheureuse du bébé sur sa mère : d’elle il reçoit toute vie. Beaucoup d’enfants se vivent comme « un morceau de la mère » et toute séparation d’avec elle ou ce qui la représente leur est intolérable : naître, pour eux, c’est mourir.

    Réciproquement, bien des mères vivent la naissance et la croissance de l’enfant comme un arrachement et une perte : ce qui était en elle n’était pas « autre » mais « elle-même ». Elles ne peuvent s’en défaire. Et cela nous fait entrevoir comment l’affirmation de l’unité indivise vient en fait compenser, camoufler, voire nier l’angoisse de la séparation.

    Dans la vie d’un foyer cette aspiration à l’unité indivise, cette peur de l’autre aboutit à une vie conjugale où tout tend à la satisfaction d’un seul; l’autre alors est réduit à n’être que l’instrument d’un bonbeur qui n’est pas le sien, et en même temps, perdant sa qualité d’autre, il ne peut plus être la source du bonheur conjugal. La valorisation d’un des époux par son travail acharné ou sa soumission pleine de dévouement est toujours le signe qu’il cherche en lui-même la vérité de son existence. Peine perdue, aussi bien qu’amour perdu. Voie de l’orgueil, de la déception et de la révolte qui peut prendre le masque de la démission. Il ne nous est pas possible d’envisager ici les nombreuses situations où il en est ainsi. Qu’il nous suffise d’évoquer les foyers où la mère « ne compte pas », ceux, au contraire, où par un biais plus ou moins subtil, le père ne fait que reprendre à son compte la volonté toute puissante de sa femme.

    Échec donc que ces conduites d’identification à l’autre, de négation ou de possession de l’autre. Certes, un homme ne devient père que s’il inscrit dans le coeur et au ventre d’une femme le désir qu’il a d’elle. Mais c’est en reconnaissant l’échec de la possession de l’autre qu’un couple réussit. On ne possède jamais l’autre. On ne connait l’intimité fondamentale que dans l’aveu, la reconnaissance vécue de l’altérité, du mystère définitif de l’autre. Le mariage est le cheminement difficile d’une découverte paradoxale : l’autre est nécessaire à la jouissance de mon être et, pourtant, il ne lui est jamais réductible. C’est ce mouvement de possession et de dépossession de la vie des époux qui est le vrai berceau des enfants. Seulement alors, entre eux et en eux, se crée l’espace qui rend possible l’irruption d’un troisième ; un fils ou une fille peut venir prendre sa place : elle est virtuellement mais réellement prête.

    l’autre c’est le père 

    Oui, l’enfant peut naître ; il a des chances de devenir un homme, car il pourra faire cette expérience nécessaire de la relation à l’autre : c’est celle de ses parents, de leur amour dont il naît. Son expérience initiale à lui, ce va être celle de l’unité indivise avec sa mère. En elle, directement, indistinctement, il s’identifie, se reconnaît. Dans cette dépendance initiale, il ignore, il nie le partage de la conception ; ce rapport créateur dont il est issu, il ne le vit pas comme le rapport à deux êtres différents, de deux êtres différents, qui sont pourtant l’unique principe, l’unique source de sa vie. C’est ici qu’intervient l’altérité du père : mari qui sépare l’enfant d’avec sa mère, son épouse. De là à ce qu’il apparaisse à un moment donné comme l’homme à abattre, il n’y a qu’un pas, que nous avons tous franchi à notre manière. Mais l’existence du père, rompant l’attache qui emprisonne le petit d’homme dans une chair qui n’est plus la sienne, lui permet en fait d’habiter sa propre peau, de devenir un autre pour quiconque. Il redonne l’enfant à lui-même, il en fait un fils ou une fille.

    Ou bien donc, la seule présence du père dans le coeur de la mère manifeste pour l’enfant la dualité, la division, le partage dont il est le fruit. Et c’est pour lui la preuve, pour ainsi dire, qu’il peut devenir lui-même, être différent, sans pour autant perdre l’amour de la mère. La vie s’ouvre à lui, cette progressive découverte, selon le modèle parental le plus souvent, de son unité personnelle dans et à partir de son être sexué. À son tour, dans l’expérience de cette séparation radicale d’un autre, il pourra aimer.

    Ou bien, le père est réduit par exemple à n’être que l’instrument ou l’idole de la mère. Et, selon les cas, l’autre est rien ou tout. L’enfant alors, incapable de se séparer de sa mère, ou exclu de l’amour dont il est issu, ne peut devenir un fils ou une fille. On éduque parce qu’on est vraiment deux, deux en un. Quand un père d’ailleurs veut manifester qu’il n’a pas de part ou de responsabilité dans la conduite de l’un de ses enfants, il proclame : « C’est bien le fils ou la fille de sa mère ! ». Ce disant, il s’exclut. II confirme que lui n’y est pour rien… ou pour si peu. D’où il ressort pour l’enfant, que s’il veut devenir quelqu’un, il lui faut participer de la mère, vu que l’autre, le père, n’est rien. N’imaginons pas que de telles situations sont délibérément voulues par ceux qui les vivent et ne nous servons pas d’une analyse de ce genre pour accuser qui que ce soit, fût-ce nous-mêmes. Il fallait seulement rappeler que, contrairement à une certaine évidence, ce n’est pas le degré de préoccupation ou d’inquiétude de la part des parents qui fait d’un enfant leur fils. Les caricatures du père hyper-responsable ou de la mère martyre ne sont plus à faire. Non, avoir un père, pour un enfant, est plutôt une sorte de garantie, lui permettant d’accéder à la révélation de lui-même, lui permettant de quitter sans culpabilité ses parents, pour réaliser, à son tour avec quelqu’un d’autre l’unité d’ « une seule chair ».

    Et en fait, c’est très tôt que l’enfant entre dans ce processus de personnalisation. Une petite fille qui n’avait pas encore huit ans dessinait une guenon. Tout à coup, elle s’arrête, regarde d’un air malicieux son interlocuteur et se demande à haute voix « qui peut bien être la guenon ? ».

    « C’est toi », commence-t-elle par affirmer en riant puis, après un instant : « Non, je crois plutôt que c’est moi… Mais si je suis la guenon, tu es le singe, et je suis ta femelle ! »

    Pouvoir vivre sa vie d’homme, prétendre à une vie séparée de celles qui lui ont donné naissance n’est pas simple. Nous nous dégageons mal de deux attitudes extrêmes et qui se touchent : la possession, paternaliste, et la soumission d’esclave. À ces deux tendances nous devons notre goût de l’aliénation ou, comme dirait le prophète Osée, de la prostitution.

    le Père c’est Dieu 

    La Bible, l’histoire du peuple de Dieu et de sa filiation divine, nous laissent entrevoir le même rapport, quand il s’agit de Dieu, entre la relation filiale et la relation conjugale. Nous ne sommes enfants de Dieu que parce que Dieu se donne comme époux à Israel, à l’Église, et que jamais il ne se laisse réduire par elle à un instrument de puissance ou à une idole (1). Il est jaloux de sonaltérité et notre expérience humaine nous fait deviner maintenant qu’à cette condition seulement nous pouvons croître dans la liberté des enfants de Dieu.

    En ne reconnaissant pas Dieu pour ce qu’il est, Autre, la maison d’Israel se prostitue. Elle tente de trouver en elle-même la source de ses richesses et la raison de sa postérité. C’est pourquoi, pour revendiquer sa paternité, Dieu n’aura de cesse qu’il ne soit, à nouveau et pour toujours, fiancé d’Israël.

    “Accusez votre mère, accusez-la !

    « Car elle n’est plus ma femme

    « Et je ne suis plus son mari » (Osée, 2, 4).

    Quand, par la ruse, et le châtiment, Yahvé aura ramené Israel à Lui, qu’à nouveau, il l’aura « séduit » et « conduit au désert », alors il pourra, comme un époux avec son épouse, « parler à son coeur ».

    « Là elle répondra comme aux jours de sa jeunesse…

    « Elle m’appellera « mon mari » (Osée 2, 17).

    “Je te fiancerai à moi pour toujours;

    “Je te fiancerai dans la justice et le droit,

    « Dans la tendresse et dans l’amour;

    “Je te fiancerai à moi dans la fidélité

    « Et tu connaîtras Yahvé » (Osée 2, 21-22).

    C’est alors et seulement que Yahvé redeviendra Père :

    « J’aimerai « non aimée »,

    « Et à Pas-mon-peuple je dirai « tu es mon peuple » (2, 35)

    « Au lieu de leur dire « Vous n’êtes pas mon peuple »,

    « On les appellera « fils du Dieu vivant » (2, 1).

    Dieu mène contre l’Humanité le combat de l’amour, c’est pourquoi les hommes sont appelés à devenir fils de Dieu.

    Denis VASSE, S. J.

    (1) l’idôlatrie consiste à mettre dans un objet ou dans une personne la puissance que l’on voudrait posséder.

     

    Thématiques : Filiation


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  • Algodystrophie

    Définition

    L'algodystrophie (ou algoneurodystrophie) est caractérisée par des douleurs des articulations secondaires à un traumatisme subi par cette articulation. Il s'agit d'une maladie très handicapante, car très douloureuse et difficile à soigner. Elle touche essentiellement les personnes ayant entre 35 et 65 ans, mais peut également affecter d'autres tranches d'âges. 
    Ce type de pathologie intervient généralement après un choc, une atteinte ligamentaire comme uneentorse ou une intervention chirurgicale, mais reste parfaitement imprévisible d'autant qu'elle peut également survenir sans raison apparente. 

    Symptômes

    L'algodystrophie se manifeste par :

    ·         une douleur diffuse et profonde parfois à type de brûlure ou de décharge ;

    ·         une impotence fonctionnelle (diminution des mouvements ou impossibilité à utiliser la zone sensible, justement en raison de la douleur qu'elle engendre) ;

    ·         une amélioration spontanée très lente, mais progressive et ne laissant en général pas de séquelles.

     

    Diagnostic

    Le diagnostic d'algodystrophie est difficile à poser et il est généralement effectué par élimination, c'est-à-dire après avoir écarté les autres diagnostics potentiellement en cause dans les symptômes. Les signes cliniques sont rarement assez significatifs pour permettre d'établir un diagnostic sûr. Les examens complémentaires sont une bonne indication, mais ne suffisent pas non plus. 
    Finalement on peut poser le diagnostic lorsqu'on retrouve suffisamment d'éléments tels que :

    ·         un antécédent de traumatisme ou d'opération ;

    ·         une douleur exacerbée et persistante à la stimulation même légère ;

    ·         une raideur articulaire avec diminution de l'amplitude des mouvements (avec une fatigue musculaire présente dans 50% des cas) ;

    ·         une déminéralisation mise en évidence à la scintigraphie osseuse ou une ostéoporose visible à laradiographie à des stades avancés.

     

    Traitement

    Pour espérer les meilleurs résultats possibles il est impératif de débuter rapidement le traitement. 
    Les traitements employés pour lutter contre l'algodystrophie visent surtout à lutter contre la douleur. Il s'agit de :

    ·         les antalgiques ;

    ·         les anti-inflammatoires non stéroïdiens ;

    ·         la kinésithérapie et l'ergothérapie ;

    ·         la balnéothérapie ;

    ·         les méthodes alternatives manuelles ont parfois des effets bénéfiques : kinésithérapie, ostéopathie, chiropraxie, etc.

     

    Evolution

     

    Il n'est pas possible de prévenir une algodystrophie puisqu'on ne connait pas les causes exactes de la survenue de cette pathologie. En revanche, on sait qu'elle a tendance à disparaître spontanément, souvent dans les deux ans qui suivent son apparition, sans que l'on sache exactement pourquoi cette fois encore. 
    Elle ne laisse généralement aucune séquelle sauf quand elle a duré plus deux ans. Dans ce cas on retrouve une raideur articulaire et une faiblesse musculaire parfois accompagnée de douleurs. 


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  • http://www.enneagramme.com/Theorie/9_desc.htm

    L'Ennéagramme est un modèle de la structure de la personne humaine. Ce modèle aboutit à neuf configurations différentes de la personnalité, neuf manières de se définir :

    Fiertés

    Chacun d'entre nous a tendance à donner dans sa vie la priorité à une de ces images de soi. En étudiant les conséquences de ce choix, l'Ennéagramme donne une description très précise de la psyché humaine et permet d'expliquer et/ou de prévoir, avec une fiabilité étonnante, notre attitude face aux diverses circonstances de la vie.

    Pour découvrir l'Ennéagramme, nous vous conseillons de lire dans l'ordre les pages suivantes ; si par contre, vous avez déjà une connaissance du sujet, allez directement à la page qui vous intéresse le plus :

     

     

    Voir la suite sur le site....

     


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  • LES ACCORDS TOLTEQUESExtrait du livre :

     

    http://www.amazon.fr/s/?ie=UTF8&keywords=don+miguel+ruiz&tag=googhydr0a8-21&index=aps&hvadid=689626929&ref=pd_sl_1o2zwwql61_e

     

    « … J’appelle cela le processus de domestication des humains. Grâce à cette domestication on apprend comment vivre et comment rêver. Au cours de notre domestication, l’information du rêve de la planète est transmise à notre rêve interne et construit tout notre système de croyances. Enfant, on nous prend d’abord le nom des choses : maman, papa, lait, bouteille. Jour après jour, à la maison à l’école, à l’église, et par la télévision on nous dit comment vivre, quels sont les comportements acceptables. Le rêve de la planète nous enseigne comment être des humains. Nous avons un concept de ce qu’est la femme et de ce qu’est l’homme. Et nous apprenons aussi à juger : nous nous jugeons nous-mêmes, nous jugeons les autres, les voisins.

    Les enfants sont domestiqués comme les chiens, les chats, ou tout autre animal ; pour instruire un chien, on le punit et on le récompense. De manière analogue, nous formons nos enfants que nous aimont tant, exactement comme on dresserait un animal domestique : pas un système de punitions et de récompenses.

    Enfant, on nous disait : Tu es un gentil garçon ou Tu es une gentille fille lorsque nous faisions ce que papa et maman voulaient. Lorsque ce n’était pas le cas, on nous qualifiait de méchant garçon ou de méchante fille.

    Chaque fois que nous enfreignions les règles, nous étions punis ; lorsque nous les respections, on nous récompensait. On nous punissait plusieurs fois par jour, et nous recevions également plusieurs récompenses quotidiennes. Bientôt nous avons commencé à avoir peur d’être puni ou de ne pas recevoir de récompense, celle-ci consistant à obtenir l’attention de nos parents ou d’autres personnes telles que nos frères et sœurs, professeurs et amis. Nous avons donc eu besoin de capter l’attention des autres pour obtenir cette récompense>. Comme elle nous faisait du bien, nous aussi avons continué à faire ce que les autres attendaient de nous pour l’obtenir. Ayant peur d’être puni et peur de ne pas être récompensé, nous nous sommes mis à prétendre être qui nous n’étions pas, juste pour faire plaisir aux autres, juste pour parraîte assez bien à leurs yeux. Nous nous efforcions de faire plaisir à papa et à maman, nous voulions plaire aux maîtres d'école, plaire à l’église, alors nous avons commencé à jouer des rôles. Nous prétendions être autre que nous n’étions par peur d’être rejetés. Cette peur est ensuite devenue celle de ne pas être comme il faut, assez bon ; Au bout de compte nous sommes devenus quelqu’un d’autre que nous-mêmes : des copies des croyances de maman, des croyances de papa, des croyances de la société et de la religion.

    Toutes nos tendances naturelles se sont perdues au cours de ce processus de domestication ; Et lorsque nous avons été assez âgés pour commencer à comprendre, nous avons appris le mot non. Les adultes disaient : Ne fais pas ceci, ne fais pas cela. Alors nous nous rébellions et disions non ! pour défendre notre liberté. Nous voulions être nous-*mêmes, mais nous étions trop petits, et les adultes étaient grands et forts. Au bout de quelque temps, nous avons commencé à vivre dans la peur, car nous savions que chaque fois que nous ferions quelque chose de faux, nous serions puni.

    La domestication est si forte, qu’arrivés à un certaine pont de notre vie, nous n’avons plus besoin de personne pour nous domestiques : ni papa  et maman ni l’école ni l’église ; nous sommes si bien dressés que nous devenons nos propres dresseurs. Nous sommes des animaux auto domestiqués. Nous pouvons désormais nous domestiquer nous-mêmes selon le même système de croyance que l’on nous a inculqué, en utilisant le même processus de punition et de récompense. Nous nous punissons lorsque nous ne respectons pas les règles de notre système de croyances ; nous nous récompensons lorsque nous somme un gentil garçon ou une gentille fille… »

     

    … . Nous nous punissons lorsque nous ne respectons pas les règles de notre système de croyances…

     

    SOMATISATION ???


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  • LE LACHER PRISELE LACHER PRISE

    Lâcher prise, c'est comprendre que rien n'est permanent ou solide et que tout est en perpétuel changement.

    Lâcher prise, c'est accepter le processus naturel et inévitable du changement.

     

    Lâcher prise, c'est accepter tout ce qui se présente, sans rejeter le négatif et sans trop s'attacher au positif.

     

    Lâcher prise, c'est prendre chaque jour comme il vient sans trop essayer d'adapter les choses à ses propres désirs.

     

    Lâcher prise, c'est considérer toute difficulté et tout ennemi comme notre meilleur ami qui nous aide à progresser et à grandir.

     

    Lâcher prise, c'est avoir du recul face à tout ce que l'on expérimente.

     

    Lâcher prise, c'est rester serein, détendu et d'humeur égale, quelles que soient les circonstances, agréables, désagréables ou neutres.

     

    Lâcher prise, c'est utiliser le moyen de l'humour pour dédramatiser une situation.

     

    Lâcher prise c'est comprendre que les choses ont l'importance qu'on leur donne.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l'avenir.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.

     

    Lâcher prise, c'est vivre dans le présent.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas s'attacher au résultat de nos efforts.

     

    Lâcher prise, c'est s'efforcer de faire de son mieux sans vouloir tout contrôler en comprenant que le résultat final n'est pas entre nos mains.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas couper les liens, mais prendre conscience que l'on ne peut contrôler autrui.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas se montrer indifférent, mais simplement admettre que l'on ne peut agir à la place de quelqu'un.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas s'occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas materner les autres, mais leur permettre d'affronter la réalité.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas assister, mais encourager.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas critiquer ou vouloir changer autrui, mais tenter de déceler ses propres défauts.

     

    Lâcher prise, c'est ne pas juger, mais accorder à autrui le droit d'être humain.

     

    Lâcher prise, c'est se mettre à la place de l'autre en essayant de comprendre ses motivations.

     

    Lâcher prise c'est donner le meilleur de soi-même et devenir ce que l'on rêve de devenir.

    Lâcher prise c'est craindre moins et aimer davantage.


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  •  

    Pourquoi votre cerveau vous empêche de maigrir?

     

     Pourquoi votre cerveau génère un excès de poids?

     

    En effet, un médecin, le Dr Batmanghelidj, a fait le lien entre  

     

    plusieurs excès de poids chez ses patients, leur perte de  

     

    celui-ci et les besoins du cerveau! 

     

     

      • Comment fonctionne le cerveau?

     

     

    Pour comprendre la relation entre votre poids et le fonctionnement  

     

    du cerveau, regardons comment ce dernier fonctionne. 

     

    Le cerveau envoie des informations au corps que cela  

     

    soit pour son fonctionnement général: respiration, mouvement, …  

     

    et aussi lors d’urgence. Cela se fait via des décharges électriques qui  

     

    engendrent des réactions hormonales (comme la décharge  

     

    d’adrénaline lors d’un stress) et des réactions physiques  

     

    (transmissions nerveuses) comme retirer sa main d’une de plaque  

     

    chauffante chaude…Pour faire tout ce que fait notre cerveau celui-ci  

     

    a besoin d’énergie. Cette énergie lui est conférée par deux moyens,  

     

    le sucre circulant dans le sang et l’hydroélectricité. En effet, lorsque 

     

    le cerveau a besoin d’énergie en cas d’urgence il ne peut mobiliser 

     

    l’énergie stockée dans les réserves de graisse car cela demanderait  

     

    du temps à partir des décharges hormonales et un peu d’activité physique.  

     

    Alors il l’obtient soit à partir du sucre soit à partir de l’hydroélectricité  

     

    afin de répondre aux urgences! 

     

    Le cerveau composé à 85% d’eau est une vraie « centrale hydroélectrique ».  

     

    Et pour envoyer des informations via des micro-courants le long des  

     

    nerfs il a besoin d’énergie. Ce qui fait que les besoins fonctionnels en  

     

    hydroélectricité du cerveau sont prioritaire pour produire cette énergie. 

     

     

      • Mais alors pourquoi votre cerveau vous fait grossir?

     

     

    En fait, lorsque le cerveau a besoin d’un apport en énergie, vous  

     

    ressentez des sensations de faim et de soif qui sont générées  

     

    simultanément. 

     

    Malheureusement, vous avez perdu votre sensation de soif et vous  

     

    ne retenez que celle qui vous invite à vous nourrir vite. Alors, au lieu  

     

    d’hydrater votre organisme, vous mangez! 

     

    Le cerveau est la seule partie du corps qui fonctionne en permanence. 

     

    Il traite toutes les informations relatant l’état de la personnes et de  

     

    son environnement! 

     

    Pour traiter tout cela il a besoin de beaucoup d’énergie qu’il puise  

     

    dans le sang avec le sucre pour fabriquer les matières premières et  

     

    divers messages chimiques (neurotransmetteurs) élaborés dans les  

     

    cellules cérébrales et qui doivent être acheminées jusqu’aux terminaisons 

     

    nerveuses. 

     

    Le sucre, carburant du cerveau est apportée par le métabolisme  

     

    du foie lorsqu’il y a une déficience du sucre en circulation. Il s’attaque  

     

    aux graisses mais il peut aussi s’attaquer aux muscles lorsque ceux-ci  

     

    sont inactifs afin d’en fractionner les protéines pour être converties en  

     

    sucre. 

     

    Souvent en période de stress, de malbouffe, notre cerveau a besoin de  

     

    beaucoup de sucre car vous ne reconnaissez plus les signaux de soif. Alors  

     

    vous mangez en excès, ouverture du frigo en rentrant du travail,  

     

    grignotage permanent pour lutter contre le stress, … 

     

    Il faut savoir que sur ce que vous mangez ainsi, seulement 20%  

     

    sont utilisés pour votre cerveau, le reste le corps va le transformer  

     

    en graisse et vous faire grossir! 

     

     

      • Comment faire pour perdre du poids alors?

     

     

    On a vu que l’énergie hydroélectrique est très importante et que vos  

     

    sensations de soif ont été perdu au fil du temps. Ainsi, votre corps pour  

     

    soutenir l’activité du cerveau demande du sucre, alors vous mangez! 

     

    Pour retrouver votre sensation de soif, il est important de rééduquer  

     

    votre corps à une consommation d’eau normale et de qualité. 

     

    Cela permettra de rééquilibrer les besoins du cerveau entre eau et sucre. 

     

    Pour se faire, il est recommandé de boire un verre d’eau de 25cl, 20 à 30  

     

    minutes avant chaque repas, petit déjeuner compris. 

     

    Ainsi vous rééduquer votre corps à la véritable sensation de soif qui n’est  

     

    pas la bouche sèche car là il est déjà trop tard! 

     

    Les personnes que le Dr Batmanguelidj a suivi ont perdu leur excès  

     

    de poids par cette gestion de leur consommation en eau et ils l’ont associé  

     

    à des exercices physiques comme la marche qui a un effet important sur  

     

    la stimulation d’enzymes « nettoyeuses » des parois des vaisseaux sanguins. 

     

    Une étude en Suède a montré que les personnes qui marché plus d’une  

     

    heure par jour avait un effet bruleur de graisse qui durait dans le temps  

     

    pendant 12 heures. 

     

    - See more at: http://qualitedeleau.eu/cerveau-empeche-maigrir/#sthash.rryNUAPR.dpuf 

     


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  • Ce village allemand Produit 321 % Plus d'Énergie que ses propres besoins! Est-ce que énergie des villages indépendants est l'avenir ? Comment les sociétés et le gouvernement central agiraient-ils s'ils savent qu'une zone(un domaine) peut être alimentaire et l'énergie indépendante ?
    >> Please Share. German Village Produces 321% More Energy Than It Needs! Are energy independent villages the future? How would corporations and central government act if they know an area can be food and energy independent? <<

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  • « Denis-vasse.com - Site officiel
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    » 

     

    LA COLÈRE

    1984- in RECHERCHES ET DOCUMENTS DU CENTRE THOMAS MORE, N°42, 1984, p. 19-29. 

    Ce teLA COLERExte ne représente que des notes qui ont permis l’élaboration de ce qui s’est dit au premier temps de la filière sur « la Colère » (Centre Thomas More, 28-29 janvier 1984). 

    Dans l’annonce de celle-ci, on relèvera notamment ces indications : « Dans le déroulement de la cure psychanalytique, l’affect de la colère apparaît avec une brutalité d’autant plus bouleversante qu’il est sans raison. Et plus elle est blanche, c’est-à-dire sans expression, non symbolisée et/ou non symbolisable, plus elle est destructrice : au lieu de trouver issue dans les mots, l’affect s’empare du corps dans le passage à l’acte. Là où la colère est impossible à dire aussi bien qu’impossible à contenir surgissent des symptômes tels que fuite désordonnée ou panique sidérante.

    Quand elle s’exprime mais que faute d’avoir été entendue, elle demeure sans effet sur l’organisation de l’appareil psychique, elle peut devenir elle-même répétitive à l’égal d’un symptôme qui manifeste l’impuissance à sortir d’une confusion qu’elle entretient… » 

    La maille rompue. L’excès du désir devient « trop ».

    La patience de l’analyste. Il est lent à la colère.

    La colère, noria de l’orgueil.

    La colère comme symptôme.

    Point aveugle et scotome.

    Un symptôme royal.

    La colère : vengeance ou pardon ?

    La création de soi par refus de l’autre : la rigueur excluante du caprice.

    Le corps diabolique.

    Du dédoublement du moi au sujet divisé : la question du désir et de la parole.

    La maille rompue 

    L’excès du désir devient « trop »[1]

    La colère est souvent déclenchée par le sentiment d’une exigence excessive venue d’un autre. Trop, c’est trop, dit le coléreux. Et ce trop peut affecter n’importe quel objet. La colère se donne comme réponse à un trop : un trop d’injustice, un trop de privation, un trop de sollicitation, un trop d’insécurité… ou de sécurité. De proche en proche, à l’analyse, peu importe l’objet qui supporte la dimension de l’excès, du trop. Au niveau du contenu, il sert à la raison, à la justification de la colère en son débordement. On peut se mettre en colère à propos de n’importe quoi : l’objet de la colère n’en rend pas compte vraiment.

    La colère n’est jamais objective. Elle est toujours réponse à une déstabilisation du MOI, à une sorte d’effraction éventuelle du MOI, comme objet imaginaire. Et, comme telle, elle intéresse au plus haut point le trajet de l’analyse. Je veux dire qu’elle apparaît souvent, et avec une violence inouïe, dans les moments qui précèdent la chute de l’imaginaire, l’altération de notre image : elle l’annonce en dénonçant comme excessive ou insupportable ce qui arrive et qui fait chuter l’image : la parole. La colère est toujours consécutive à une parole de trop. Même lorsque celui qui en est le lieu ne le sait pas encore clairement, la colère manifeste un refus inconscient de la parole comme telle. Elle s’origine dans ce fait incroyable : qu’une parole peut me déloger de moi-même et faire surgir en moi l’excès de la dimension du désir, cet excès du désir qui révèle au coeur de MOI-MEME l’altérité originaire de la parole. La colère dénonce l’excès du désir comme UN TROP et elle le condamne comme excessif. Au prix d’une confusion, elle dit que l’altérité est excessive. Elle refuse l’autre pour ne pas sortir de soi. Du même coup, elle se détruit.

    Et cette destruction prend toujours la figure du dédoublement. Elle la prend dans la mesure où la tension qu’elle suppose aspire à une décharge de la vie dans la parole, de la puissance de vie en tant que, dans l’humain, elle constitue le vivant seulement par rapport à un autre vivant. Mais en même temps, elle est ou se veut négation de l’altérité pour un MOI qui veut toute la vie, qui la veut seul. Sans autre. Dans le même moment où la bouche est sollicitée par le mouvement d’une ouverture explosive, elle est, avec la même force, occultée, serrée, fermée à double tour.

    À la place de la parole explosive qui soulagerait la tension, apparaît une inspiration muette qui vient la nourrir. L’inspiration forcée qui concentre sur le souffle retenu laisse planer la menace de la colère rentrée. Celle d’un refus de continuer à donner ou à rendre le souffle, celle d’un refus de laisser s’ordonner le souffle à la parole, la vie humaine en fonction de la dimension d’altérité qui est la sienne.

    Il me semble que cette déconnection de la parole et du souffle, de la bouche et du nez, ce lien de tension entre une bouche crispée qui ne veut pas parler et la dilatation des narines qui réclament de l’air… rend compte du fait sémantique que dans les langues sémitiques - et dans la Bible en particulier - le NEZ et la COLERE SONT un seul et même mot.

    Cette tentative de dissociation entre la respiration et les mots, entre le souffle et la parole, la clinique psychanalytique m’avait donné l’occasion de la constater. Je n’y ai vu longtemps que l’essai ultime et comme à priori d’éviter le risque de prendre la parole ou de se laisser prendre par le langage (ambiant), comme un évitement à priori. Ce n’est que secondairement qu’il m’a été donné d’entrevoir que ce refus actif était la conséquence d’une colère qui ne se savait pas encore, d’une colère sans mot, d’une colère sans bouche : une colère qui s’auto alimente de ne pas pouvoir se dire et qui, d’être enfermée dans le corps, le détruit. La colère rentrée est suicidaire : le refus de l’autre tue le même. Ainsi le dit depuis longtemps un des chapiteaux de Notre-Dame du Port représentant une femme qui s’enfonce dans le ventre une épée. Cette colère rentrée est souvent prise pour celle de Dieu.

    L’épée est une des figures de la parole qui tranche et qui distingue entre le bien et le mal, mais aussi entre le même et l’autre. Dans la colère, le tranchant de la parole ne vient plus signifier la limite vivante entre l’autre et moi, entre ce qui écoute et ce qui parle en moi, entre le Sujet et l’Autre. La parole garde imaginairement son tranchant mais au lieu que ce tranchant soit métaphorique, c’est-à-dire ordonné dans l’ordre de la signifiance à la réalité symbolique d’une parole qui crée en discernant, qui discerne avec justice et justesse, au lieu que ce tranchant soit métaphorique d’une articulation signifiante d’un sujet dans un corps de parole, c’est la parole elle-même, c’est-à-dire le fait de parler, qui va être vécu comme tranchant, coupant, destructeurde la bulle de mon identité imaginaire.

    Le fait d’avoir une bouche pour parler est alors « ressenti » imaginairement comme une intolérable coupure de soi, celle-là même que la colère opère dans le MOI en le dédoublant dans une tentative indéfinie et orgueilleuse de récupérer l’autre en MOI : le dédoublement est une tentative - parfois réussie, de ne rien perdre de la vie, de se donner l’illusion du partage… pour tout garder. Le dédoublement singe la division pour éviter le risque de se laisser prendre par la parole et/ou d’avoir à la prendre en vérité.

    Le fait de parler devient alors - dans un imaginaire qui se prend pour le réel - le danger par excellence, apocalyptique… La parole, en tant qu’elle se manifeste, détruit. Elle n’apparaît que pour nous perdre et perdre le monde (Mc 1, 21-28). Elle ne peut en aucune façon, être ordonnée à la révélation d’une bonne nouvelle.

    Cette peur verrouillée par 1a colère rentrée est le coeur du mutisme. Laisser s’articuler la parole au souffle reviendrait à tout détruire dans un souffle de mort. Il m’arrive souvent de dire qu’en nous, il y a quelque chose de la bombe atomique… qui nous fait si peur. Nous avons affaire ici à un symptôme étonnant : celui de la peur de parler, toujours rationalisée et transposée en peur de dire des bêtises et qui recouvre une peur physique de la voix, c’est-à-dire de ce lien structurant de l’humain par lequel et auquel le corps de l’homme est ordonné : la voix en tant qu’elle est signifiante de l’origine dans l’articulation du souffle et de la parole, du sang et du sens, de l’homme et de la femme, de la mère et de l’enfant…

    Si, autour de l’enfant, personne ne témoigne que parler, c’est donner parole, exactement commevivre, c’est donner la vie, alors parler n’est plus référé qu’à un savoir qui se conserve et qui ne donne rien, qui ne donne pas un nom.

    C’est un peu cela, la psychanalyse : un humain qui se laisse prendre par un autre pour un « supposé savoir » un tas de choses sur lui-même et qui au profit de ce leurre accepte d’être le témoin du rapport que son patient entretient avec son propre discours et sa parole ou du moins « la » parole. Comme témoin, il jure de laisser se dire la vérité en lui… sans se mettre en colère ! Dans ce tissu de la patience lente à la colère : la lenteur à la colère est le signe discret de l’amour, celui d’une attente active qui fait déjà foi en celui qui parle et espère - parfois contre toute espérance - qu’il y a un sujet naissant dans le corps humain.

    La colère qui survient après la patience active est seule signifiante de l’amour. Et il se peut que l’analysant conduise jusque-là son analyste. Il se peut aussi qu’il se débrouille pour s’en aller avant ou que son analyste s’en sépare… parce qu’il ne peut pas l’aimer jusque là… soit parce qu’il ne le peut pas et que pour lui ce serait présomption, soit parce que lui aussi il a peur. Mais, dans les deux cas, il vaut mieux qu’il trouve la manière de se le dire ou même de le dire plutôt que de se laisser passer à l’acte d’une rupture sans parole ou, pire encore peut-être, d’une analyse indéfinie.

    Que l’analyste soit lent à la colère et qu’il ne se précipite pas dans le jeu de l’interprétation ou dans la position outrancière d’un silence prétendument technique sont une seule et même chose. Écouter quelqu’un, selon Freud, avoir une attention flottante, c’est lui laisser faire l’expérience jusque dans la contradiction - que le fait que CA PARLE EN LUI DE LUI et que ÇA ÉCOUTE EN LUI UN AUTRE, le fait d’être divisé entre ce qui parle et ce qui écoute, est constamment REFOULÉ occulté, dénié, non reconnu par la COHÉRENCE d’un discours, par le totalitarisme d’un imaginaire projeté dans l’affirmation ou dans le doute.

    Ce refoulement de la division, au profit et par le dédoublement imaginaire, n’est pas sans rapport avec l’orgueil et/ou « l’ORGE », la colère. L’apparente maîtrise, celle d’une annulation, d’une partie par l’autre, d’un moi par l’autre, successive ou simultanée, sur nous-même quesemble donner le processus de dédoublement (faire le point, faire un bilan, faire une vérification, une évaluation…) est à mettre au compte du dédoublement du MOI dans l’évitement de la division d’où naît le sujet en tant que justement, en elle, ça parle à un Autre et ça écoute un Autre quand il parle à un autre ou qu’un autre lui parle. QUAND ÇA PARLE. PAS QUAND ÇA PENSE. On pourrait dire que la règle d’or de la psychanalyse, c’est : NE PENSE PAS. PARLE !

    Là est la panique, et la colère. Car parler vraiment, nous n’en avons la preuve qu’après coup… dans la sortie de ce qu’on pense nous-mêmes de nous-mêmes. Les affects de la colère annoncent souvent la déconstruction de l’image orgueilleuse de nous-mêmes.

    Orgueilleuse veut dire ici douée d’une puissance de vie (org) sans partage, en elle seule ; une puissance de vie qui détruirait parce qu’elle est, à ses yeux, la seule, toute autre manifestation de vie. L’orgueil originaire est la puissance de vie telle que nous l’imaginons par nous-mêmes et en nous-mêmes. Il est NOUS-MEMES nous donnant pouvoir de vivre par NOUS-MEMES, sans AUTRE, sans dimension de PAROLE, sans cette dimension qui autorise la révélation de cette puissance de vie comme VRAIE OU COMME FAUSSE. Selon MOI, moi, Je choisis ce que je crois « positif » contre ce que moi, je crois « négatif »… et j’appelle ça DESIR. Or, un désir où il n’y a pas l’ombre d’un autre, l’ombre d’un NOM d’une nomination par un Autre -n’est pas VRAI. Le mot « désir » cache l’envie aveugle du fantasme de la toute puissance imaginaire.

    À quoi reconnaît-on cette falsification qui n’est peut-être pas encore un mensonge conscient ? À ce que l’on se débrouille, avec l’adresse inconsciente du jeu des mots et des passages à l’acte, à ne jamais se laisser mettre en position de parler véritablement… dussions-nous, pour cela, payer fort cher des séances d’analyse à quelqu’un de renommé, ou pratiquer la plus rigoureuse des ascèses religieuses (orientale, pourquoi pas ?) ou nous engager à corps perdu dans la militance politique, à moins que ce ne soit dans une pratique sexuelle où l’orgasme devient la preuve de « ma » liberté jusqu’à la tristesse la plus mortelle, la confusion la plus désordonnée, où s’engendre un non-viable, le fils d’Amertume et d’Aigreur, enfants de la Colère.

    Lorsque cette falsification affleure à la conscience - malgré tout… - dans un lapsus, un accident, une maladie, une épreuve… enfin… dans un raté du fonctionnement de l’inconscient, celui qui en est le témoin va reconnaître le mensonge inconscient - le « premier mensonge », comme dit Freud - dans la résistance déployée dès que l’on se trouve dans les conditions pour le faire : dans le transfert. Freud et Lacan nous l’ont répété sans cesse : la marque du transfert, c’est la résistance. À transfert massif - chez le psychotique -, résistance massive qui va jusqu’à l’immobilisation et la sidération du corps. À transfert partiel, nuancé, témoignant d’une division originaire des avoirs libidinaux, résistance partielle témoignant d’un dédoublement non encore consommé et interprétable. (Revient ici la question du Nom du Père et de sa forclusion dans la psychose et qui s’opposerait au jeu du rapport entre refoulement primaire et refoulement secondaire dans la névrose). La résistance n’est interprétable en analyse qu’à la lumière du transfert. Le dédoublement qu’elle met en oeuvre n’est interprétable, ne peut rejouer dans l’ordre de la parole, que sur fond de division du sujet, là où ça parle en lui d’un Autre - à partir d’un Autre.

    La tension ne peut se résoudre dans la décharge de la parole quand elle se trouve emprisonnée dans le dédoublement du moi. La réduction de la tension et la satisfaction qui s’ensuit ne peuvent être procurées que par la réduction à rien de l’un des deux termes : et ce, chacun leur tour, dans une oscillation permanente, dans une enceinte ou une boîte noire : dans cette enceinte psychique, la colère tourne en rond. La tension de la vie, l’humeur, y devient le lieu de l’investissement narcissique le plus serré (« Mon humeur est égale, je ne décolère pas »).

    La colère est le symptôme du dédoublement. Qu’elle puisse se dire, se reconnaître et, donc, s’offrir à l’interprétation, permet, comme l’on dit, de « revenir de sa colère » de l’égarement où elle plonge le sujet naissant. Se mettre en colère peut être une manière de retrouver l’altérité qui nous fait sortir du dédoublement du même.

    La colère est le mouvement fou de la vie. Elle est consécutive au sentiment d’être arrêté, contrarié dans un élan vers… ou une volonté de… Et il n’est pas étonnant qu’elle soit liée aux avatars du désir. Cette contrariété du désir inconscient est toujours éprouvée, dans l’ordre de la rationalisation sentimentale, comme injustice, laquelle prétendue injustice justifie la colère. À ce niveau, ce qui est ressenti comme injustice équivaut toujours à la non-satisfaction pulsionnelle. La faim du nourrisson, le malaise que provoque la tension pulsionnelle orale, est une « injustice » parce qu’e!le demande « satisfaction ». C’est pourquoi, me semble-t-il, la justice a si souvent pour thème : « la faim dans le monde ». Mais nous confondons souvent « pulsion » et « justice » et nous croyons satisfaire la seconde quand nous ne faisons que satisfaire la première.

    La parole retrouvée comme ce qui nous fonde dans l’ordre du droit et de la justice, le dialogue autour de la Loi finalement, nous fait revenir de la colère. C’est seulement aux fruits de la colère qu’on discerne l’esprit qui l’anime depuis le début. La colère dont on sort par la reconnaissance de son tort ou par le pardon accordé est un acte symbolique où la parole est à l’oeuvre au coeur même de l’affect : l’ultime modalité pour se faire entendre.

    La colère qui s’entretient dans la jouissance répétitive de la décharge pulsionnelle, celle dont on ne sort pas quand « on se monte le bourrichon », est une colère d’orgueil, de cette puissance de vie pulsionnelle qui se redouble sur elle-même et ne veut rien savoir de ce qui parle en l’homme, de la dimension d’altérité que la colère précédente, justement, tente de rétablir.

    « La colère… c’est quand le savoir ne sert plus à rien…

    et que les autres ne font pas ce que je dis…

    alors, j’ai de la colère qui vient en moi… »

    L’homme entre en colère là où la parole n’a plus d’effets : soit de son fait - il n’a plus d’interlocuteur que sa doublure… -, soit du fait des autres - il se heurte à un refus d’entendre auquel vient inconsciemment s’accorder le sien…

    La colère monte la garde au seuil du même : elle n’admet pas l’altération de l’image ou la défaillance, elle ne supporte ni la limite du savoir, ni la brisure du miroir. Elle accuse l’autrejusqu’à la destruction de soi-même. Elle ne veut rien entendre. Elle ne veut pas savoir. Elle s’offusque et elle confisque. Elle entend empêcher l’écroulement d’un édifice imaginaire qu’elle sait pourtant déjà.

    En termes techniques, elle précède la chute de l’objet (a). La fonction de cet objet est desupporter l’édifice de l’aveuglement. N’étant pas spécularisable, il est le lieu même où le sujet se trouve imaginairement pris, sans le savoir. Au lieu d’être au point aveugle où l’imaginaire s’articule au symbolique, à la parole, il est pris dans ce qu’il ne voit pas, dans ce qu’il ne peut ni ne veut voir, dans le scotome de son champ visuel. Dans les discours analytiques, il y a souvent cette confusion entre le point aveugle et le scotome. Entre l’articulation à la parole et la négation inconsciente de l’objet.

    Nous avons constamment à nous laisser déplacer de nos positions d’aveugle et d’aveuglementpour nous laisser occuper le point aveugle de notre imaginaire : c’est le point d’où nous voyons, comprenons, connaissons à partir de ce qui parle en nous et qui n’est rien de ce que nous imaginons.

    Il me semble que l’humeur de nos vies supporte difficilement ce déplacement de l’aveuglement au point aveugle. Nous préférons l’affirmation de nos aveuglements à l’ouverture de nos oreilles dans la nuit où ça parle. Il n’est pas rare qu’en cours d’analyse, l’agacement, l’irritation et la colère se donnent rendez-vous dans le constat qu’on ne comprend plus rien. Il faut beaucoup de patience pour que la rage de ne pas comprendre se mue en ouverture des oreilles. La déception narcissique de l’incompréhension doit être un sucre d’orge savoureux pour occulter à ce point, pour colmater toute ouverture à l’hétérogénéité de la parole. Nous préférons la fureur qui tue ou la mélancolie qui incorpore la mort, à l’obéissance.

    Le satané processus de la déception cache un refus subtil que la parole nous arrive là où nous pouvons l’entendre : au point aveugle de nous-mêmes, là où elle peut nous atteindre. Là où toujours, de quelque manière que ce soit, le seul fait que l’homme parle ouvre à la question de son origine et de sa fin.

    D’où « ça » vient, qu’il parle ?

    Et, pour quoi, en définitive ?

    Ça ne vient pas que pour lui-même.

    Ça n’est pas que pour lui même.

    La séduction ne suffit pas, en tant que chemin qui ne mène qu’à soi, à rendre compte de l’homme parlant. Il y faut une é-ducation, une sortie de soi, par la parole.

    Nous entrons en colère là où nous ne pouvons sortir de nous-mêmes par nous-mêmes. Et ce qu’a d’excessif et de paralysant la colère est un bon symptôme. Cela manifeste le refus de la limite où se symbolisent l’excès du désir de l’Autre et l’inhibition de la mobilisation par la parole.

    La colère est un symptôme que nous n’aimons pas offrir à l’interprétation. Cette interprétation nous conduit à la reconnaissance de notre propre perversion, en ce lieu exact où notre MOI prendre la place de l’Autre par la grâce d’un aveuglement, de la certitude d’une connaissance des autres et de soi qui n’obéit à rien d’autre qu’à moi. La colère vient en moi à cet endroit précis où l’Autre est dénié du fait d’un refus inconscient d’entendre. En cette ouverture originaire, ça parle, non de ce que je vois ou je dis, non de ce que je ne vois pas (non-vu) ou je ne dis pas (non-dit), mais de ce que seulement j’entends dans le silence et dans la nuit, comme dans le tumulte des passions et des pulsions : une présence Autre, celle du Désir.

    La colère que l’on rencontre quasi nécessairement dans les cures est la gardienne de ce seuil où le désir s’annonce en un conflit structural de sens : soumis qu’il est à un couple de forces opposées, celle qui le tourne tout à fait vers l’image - dans la perversion -, celle qui lui rend son sens originel perdu - con-version - où le désir de l’homme est le désir de l’Autre.

    Si le rêve est la voie royale qui mène à l’inconscient, là où de toute façon, même en dormant, ça parle, la colère est, elle, un symptôme royal : le roi pervers qui la soutient interdit la parole. C’est pourquoi sa manifestation la plus éclatante est le MUTISME et l’IMMOBILITÉ.

    La colère vient à la place de la parole souveraine : celle qui discerne et rend justice.

    À ce niveau d’analyse, il n’est plus étonnant que le symptôme de la colère intéresse essentiellement la bouche et le surgissement de la parole.

    En deçà du seuil de la bouche, quand elle ne se dit pas, la colère est blanche, confinée dans une ignorance qui va jusqu’à l’indifférence du comportement (une seconde nature !) : ce refoulement des mots de la colère est d’autant plus destructeur que personne ne l’entend. Il alimente le processus d’un dédoublement où le sujet s’épuise en évitant la parole (celle qui naît en lui) qui casserait tout …

    Au-delà du seuil de la bouche, quand elle est dite, elle peut aussi produire des ravages, mais elle est rouge ou bleue, connue de tous… et elle sera d’autant moins destructrice qu’avec son terme, elle s’offre au pardon. Sortir de la colère revient à offrir le sujet qui y était pris naissant au pardon. Au pardon donné ou au pardon reçu.

    Que l’homme puisse revenir de sa colère revient à dire qu’il peut revenir de son égarement.

    Ce retour est souvent difficile car c’est au nom de la justice - comme le roi en sa fonction (discernement) - que nous entrons en colère et c’est de cette justice, référée à la satisfaction pulsionnelle dont nous avons parlé, que nous ne voulons pas démordre ! Le sentiment d’être dans son bon droit empêche la colère de se désamorcer et, dans une sorte de cercle vicieux, la colère elle-même devient la preuve du bon droit. Comme s’il suffisait d’être sincèrement en colère pour que notre colère soit juste ! Comme pour le roi, notre langue devient une épée et notre oeil s’enflamme… mais c’est au nom de notre justice confondue avec la justice et qui nous fait tuer n’importe qui pour satisfaire au moi-même (1 Sm 20, 30-34).

    La mise en évidence de ce cercle vicieux où apparaît encore le dédoublement (à la place de la division) dit assez que la colère touche à la parole originaire en l’occultant. Elle vient à la place de l’ouverture à l’Autre, qui délivre de la prison du même. Sous prétexte de clarté et d’indignation, elle entretient la confusion dans bien des registres (la peur et la mort, le courage et la vie, le vrai et le faux, le sujet et l’Autre).

    Elle se donne pour la fin ou l’origine de la parole.

    On ne parle pas pour ne pas se mettre en colère !

    On se met en colère parce qu’il a parlé !

    La colère, l’humeur de la vie dans son immédiateté, devient la raison de la parole… qui perd son caractère spécifique d’humanité ! C’est d’être en colère que nous sommes homme et roi… et non de garder la parole qui nous est donnée.

    Ainsi se trouve dissocié, dans la colère, le rapport de la vie humaine à la parole et au désir de l’Autre.

    La colère est l’autorité (imaginaire) que se donne une vie humaine sans autre : elle est au coeur du dédoublement.

    L’excès de la colère n’est finalement envisageable autrement que comme une destruction que si l’on peut en revenir, en sortir, que s’il y a une issue à la colère, que si la colère vient buter sur un excès plus grand qu’elle : l’excès de l’excès qui est la dimension du pardon. C’est cette ouverture que la colère orgueilleuse va refuser.

    Ouverture symbolique, s’il en est, car le pardon, qu’il soit reçu ou donné, implique la dimension de l’altérité : oubliée, perdue, déniée précisément dans la colère.

    Quand la colère ne trouve pas d’issue dans le pardon, elle devient le redoublement de l’excès imaginaire sur lui-même : vengeance et souvent, vengeance qui s’ignore comme destruction de soi-même.

    La vengeance est la tentative aveugle de rétablir la justice par soi-même : elle ne démord pas de ce fantasme qui la fonde, à savoir que le châtiment que MOI, j’inflige, est JUSTE.

    La vengeance est la NON-ISSUE de la colère.

    Elle enferme dans le dédoublement le sujet naissant, en refusant d’obéir à la Loi, dans une non-reconnaissance à priori de l’Autre, et par conséquent de la parole qui fonde le Sujet.

    Verrouillé en lui-même, dans l’indéfini de ses rationalisations, l’homme se retrouve aux prises avec la HAINE, en lui-même, comme avec une pierre.

    Le véritable esprit de colère ne se discerne que dans l’après-coup : colère selon la justice, elle se résout dans la figure toujours nouvelle du pardon donné ou reçu, parole retrouvée (altérité) ;colère selon la jalousie, elle ne se résout pas, elle s’auto entretient dans la négation de l’autre et « la création de soi-même par le refus de l’autre » : le refus de l’autre est promu au rang de preuve de l’existence de moi-même. L’enfer!

    Un tel fantasme est sous-jacent à bien des désirs de reconnaissance dont les psychanalystes ont les oreilles rebattues. Cette « reconnaissance sociale » s’enracine souvent dans la rigueur excluante du caprice qui va jusqu’à la bouderie la plus vengeresse et jusqu’à la destruction du moindre atome de joie en soi-même, plutôt que de s’y laisser aller dans la réconciliation ; car s’y laisser aller, ce serait encore reconnaître l’autre. Alors que dans le caprice, c’est de MOI SEUL qu’il s’agit.

    Après une considération sur l’Absolu, et avant de reconnaître que « tous les gens qui tournent autour de lui, c’est « personne », un patient disait :

    «… c’est comme un gosse de riche… un caprice…

    LE REFUS C’EST COMME UN CAPRICE…

    MAIS IL A TELLEMENT PRIS RACINE EN MOI…

    QUE JE SUIS COINCÉ.

    Je peux plus… j’ai pas le temps (il pleure).

    …………………………………………

    Je sais pas qui je suis… Quel âge j’ai… je sais pas… »

    Le refus inhérent au caprice, à ce mouvement en nous qui fait prévaloir l’orgueil du MOI qui peut dire NON à tout ce qui n’est pas lui, peut pétrifier le coeur et le corps. Il transforme le coeur de chair en coeur de pierre et le verrouillage est parfait. Le refus de l’autre se donne à lire comme reconnaissance ou création de soi, le mensonge qui est en nous se proclame en nous pure injustice des autres, la condamnation où nous nous enfermons nous-mêmes, nous la projetons sans cesse comme persécution par les autres !

    Cette confusion du dédoublement qui nous permet d’échapper à la division du sujet, cette apparente maîtrise de la pensée qui nous autorise à ne pas parler trouve sa source dans unoriginel refus - refus d’obéissance - qui nous fait prendre la vessie du MOI pour la lumière de l’Autre.

    Et ce, d’autant plus que nous avons raison !

    De fait, avoir raison nous confirme toujours dans le bien-fondé de notre colère. Elle nous y confirme jusqu’en ce point de caprice où l’orgueil de la raison qui se veut raison de tout ne voit plus dans l’altérité du désir (autre ou Autre), dans la présence et/ou l’absence qu’un empiètement et une attaque de soi dont l’Autre tyrannique, ma mère ou Dieu, se nourrirait.

    Dans la colère de l’orgueil, la trahison de l’autre est confondue avec la mienne. Sous les mots qui en appellent à la justice et à la trahison de l’autre, l’homme y devient complice de lui-même dans le plus opaque des silences. Lacan a entrevu le rapport qui se resserre jusqu’à la suffocation dans la complicité duelle qui plonge en nous ses racines dans les forfaitures et les vains serments, les mots en l’air et les paroles vaines que, non sans humour, il dénonce à la suite des Pères de l’Eglise. À ce raisin vert de la parole, il accroche, chez l’enfant, la grappe de la colère.

    «… C’est des forfaitures et des vains serments, des manques de parole et des mots en l’air dont la constellation a présidé à la mise au monde d’un homme, qu’est pétri l’invité de pierre qui vient troubler, dans les symptômes, le banquet de ses désirs. 

    Car le raisin vert de la parole par quoi l’enfant reçoit trop tôt d’un père l’authentification du néant de l’existence, et la grappe de la colère qui répond aux mots de fausses espérances dont sa mère l’a leurré en le nourrissant au lait de son vrai désespoir, agacent plus ses dents que d’avoir été sevré d’une jouissance imaginaire ou même d ‘avoir été privé de tels soins réels. 

    Tirerons-nous notre épingle du jeu symbolique par où la faute réelle paye le prix de la tentation imaginaire ? Détournerons-nous notre étude de ce qu’il advient de la loi quand d’avoir été intolérable à une fidélité du sujet, elle fut par lui méconnue déjà quand ignorée encore, et de l’impératif si, de s’être présenté a lui dans l’imposture, il est en son for récusé avant que d’être discerné : (détournerons-nous notre étude) c’est-à-dire des ressorts qui, sans la maille rompue de la chaîne symbolique, font monter de l’imaginaire cette figure obscène et féroce où il faut voir la signification véritable du surmoi ? 

     

    Les manoeuvres de complicité duelle où elle (la pratique analytique) s’efforce pour des effets de bonheur et de succès, ne sauraient prendre de valeur à nos yeux que d’amoindrir la résistance des effets de prestige où le moi s’affirme, à la parole qui s’avoue à tel moment de l’analyse qui est le moment analytique. 

    Nous croyons que c’est dans l’aveu de cette parole dont le transfert est l’actualisation énigmatique, que l’analyse doit retrouver son centre de gravité, et qu’on aille pas imaginer à nos propos de tout à l’heure que nous concevions cette parole sous quelque mode mystique évocateur du karma. Car ce qui frappe dans le drame pathétique de la névrose, ce sont les aspects absurdes d’une symbolisation déconcertée, dont le quiproquo à mesure qu’on le pénètre plus avant, apparaît dérisoire.

    Adaequatio rei et intellectus : l’énigme homonymique que nous pouvons faire jaillir du génitifrei, qui, sans même changer d’accent peut être celui du mot reus, lequel veut dire : partie en cause en un procès, particulièrement l’accusé et, métaphoriquement, celui qui est en dette de quelque chose, nous surprend à donner à la fin sa formule à l’adéquation singulière dont nous posions la question pour notre intellect et qui trouve sa réponse dans la dette symbolique dont le sujet est responsable comme sujet de la parole. » (J. LACAN, « La chose freudienne » - la dette symbolique -, Ecrits, p. 433).

    La bouche qui ment est une bouche qui ne dit pas l’Autre quand elle s’ouvre : c’est une bouche qui ne parle pas.

    Elle ne crée aucun espace symbolique, aucun lieu de rencontre, aucune limite de séparation. Elle ne parle pas ; elle n’est pas bouche d’un corps d’homme. S’il est vrai que c’est la parole qui fait l’homme (Lacan). Elle parle pour ne pas parler, pour ne pas dire « oui » à la parole : elle parle, elle dit apparemment « oui », pour dire réellement « non ». Cette bouche menteuse, celle à tous les coups de la seule Pensée, ne symbolise rien : ni le corps qui parle, ni le monde dont elle parle. Elle diabolise tout. Elle disperse le corps au vent des mots et donne aux mots une valeur de choses sans rapport avec le sujet naissant. Les mots occupent le corps et l’étouffent, ou le disloquent : comme des choses sans rapport entre elles et sans rapport avec le corps.

    Une bouche qui dit des mots sans parler - sans faire lien - est une bouche qui est morte. Elle ouvre à une impasse diabolique où, d’être dispersés, les éléments de la structure n’autorisent plus le corps de chair à être le lieu d’une parole vivante. Elle produit un discours de négation, de refus : elle crée le refus. « Il y a en moi-même une négation de moi-même ». Refus d’un Autre et négation de soi, qui se donnent à entendre, à niveau de conscience première et en fonction de la modalisation, par le mensonge : comme « OUI » à un Autre et « NON » à Moi… ou l’inverse.

    Ce que je voudrais dire : le « diabole » qui dissocie la parole ne permet pas l’entrée dans la colère qui peut indiquer le dédoublement, certes, mais qui le symbolise aussi et autorise quelqu’un d’autre à en prendre la mesure - dans le transfert, par exemple. Non, le diabole, ce qui défait le symbole, jette dans la fureur aveugle. Souvent la fureur survient là où le dédoublement n’a pas pu se mettre en scène dans la colère. Se méfier de l’eau qui dort. Le diable ne sait pas se mettre en colère : il est mielleux ou furieux.

    Ce n’est que secondairement à ce travail que j’ai découvert dans les psaumes, et grâce à un ami, cette strophe :

    « Non, rien n’est sûr dans leur bouche 

    et leur fond n’est que ruine, 

    leur gosier est un sépulcre béant, 

    mielleuse se fait leur langue » (Ps 5, v. 10).

    que l’on peut traduire plus littéralement :

    (Chiasme)            a. Rien dans leur bouche de ferme (précis, décidé, sûr)

    b. leur intérieur est ruine (coeur, entrailles)

    b’. tombeau ouvert, leur gosier

    a’. leur langue, ils la rendent mielleuse (pas ferme, glissante, ni « oui », ni « non »)

    Dans cette passe, de la diabolisation à la symbolisation, nécessairement se pose la question d’une parole qui parle d’un autre lieu que de celui des mots. Cet écart par rapport aux mots, ce décollement des mots dans un imaginaire qui, somme toute, s’est organisé pour préserver un retrait par rapport à la parole qui tue, ne vont pas sans fatigue, sans peur et sans colère.

    La fatigue extrême, la peur insoutenable, l’irruption inouïe de la colère sont de « bons signes ». Ils annoncent la question de la Parole qui parle. Ils annoncent que ça parle d’un autre lieu que celui des mots. Non pas sans eux. Mais sans être réduit à eux. Encore faut-il que le psychanalyste n’ait pas peur de la question ; car il me semble que la fatigue apparaît lorsque nous ne réussissons plus à nous rendre conformes à notre image, que la peur nous envahit quand nous ne savons plus à qui nous en remettre, que la colère se noue et s’exprime quand nous n’en pouvons plus de nous taire.

    À un degré ou à un autre, ce triptyque (chute de l’image de soi dans la fatigue, irruption de l’Autre dans la peur, accès à la parole dans la colère…) pose en termes de structure savante la question de la « castration » et, en d’autres termes, pour peu qu’on n’en ait pas peur, justement, celle de Dieu.

    Je veux dire, la question d’un autre écart que celui de l’imaginaire dédoublé où le jeu de mots peut toujours faire recette !

    Mais cette recette, nous l’avons dit, est de mort.

    La fatigue, la peur et la colère exprimées indiquent à la fois la résistance à ce qui parle en nous - au désir et la faille de cette résistance qui va céder sous la pression de ce qui arrive. Dès lors qu’elles peuvent se dire, qu’un témoin est là qui assure comme on assure en montagne - que ces symptômes ne sont pas l’annonce d’une destruction pure et simple et des autres et de soi, fatigue, peur et colère exprimées, entendues, médiatrices d’une parole originairement refoulée entre le sujet et l’Autre, font sauter le verrou de la colère rentrée qui maintenait au coeur du mutisme la peur essentielle de parler (cf. p. 21). Cette peur qui fait que la parole est de « trop », toujours excessive … et qu’elle ne peut pas être le lieu d’une rencontre, la marque d’une vie qui se donne.

    Denis VASSE 

    psychanalyste 

    Thématiques : Colère

     

     


    [1]

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    Les manoeuvres de complicité duelle où elle (la pratique analytique) s’efforce pour des effets de bonheur et de succès, ne sauraient prendre de valeur à nos yeux que d’amoindrir la résistance des effets de prestige où le moi s’affirme, à la parole qui s’avoue à tel moment de l’analyse qui est le moment analytique.

     

     

     

    Nous croyons que c’est dans l’aveu de cette parole dont le transfert est l’actualisation énigmatique, que l’analyse doit retrouver son centre de gravité, et qu’on aille pas imaginer à nos propos de tout à l’heure que nous concevions cette parole sous quelque mode mystique évocateur du karma. Car ce qui frappe dans le drame pathétique de la névrose, ce sont les aspects absurdes d’une symbolisation déconcertée, dont le quiproquo à mesure qu’on le pénètre plus avant, apparaît dérisoire.

    Adaequatio rei et intellectus : l’énigme homonymique que nous pouvons faire jaillir du génitifrei, qui, sans même changer d’accent peut être celui du mot reus, lequel veut dire : partie en cause en un procès, particulièrement l’accusé et, métaphoriquement, celui qui est en dette de quelque chose, nous surprend à donner à la fin sa formule à l’adéquation singulière dont nous posions la question pour notre intellect et qui trouve sa réponse dans la dette symbolique dont le sujet est responsable comme sujet de la parole. » (J. LACAN, « La chose freudienne » - la dette symbolique -, Ecrits, p. 433).

    La bouche qui ment est une bouche qui ne dit pas l’Autre quand elle s’ouvre : c’est une bouche qui ne parle pas.

    Elle ne crée aucun espace symbolique, aucun lieu de rencontre, aucune limite de séparation. Elle ne parle pas ; elle n’est pas bouche d’un corps d’homme. S’il est vrai que c’est la parole qui fait l’homme (Lacan). Elle parle pour ne pas parler, pour ne pas dire « oui » à la parole : elle parle, elle dit apparemment « oui », pour dire réellement « non ». Cette bouche menteuse, celle à tous les coups de la seule Pensée, ne symbolise rien : ni le corps qui parle, ni le monde dont elle parle. Elle diabolise tout. Elle disperse le corps au vent des mots et donne aux mots une valeur de choses sans rapport avec le sujet naissant. Les mots occupent le corps et l’étouffent, ou le disloquent : comme des choses sans rapport entre elles et sans rapport avec le corps.

    Une bouche qui dit des mots sans parler - sans faire lien - est une bouche qui est morte. Elle ouvre à une impasse diabolique où, d’être dispersés, les éléments de la structure n’autorisent plus le corps de chair à être le lieu d’une parole vivante. Elle produit un discours de négation, de refus : elle crée le refus. « Il y a en moi-même une négation de moi-même ». Refus d’un Autre et négation de soi, qui se donnent à entendre, à niveau de conscience première et en fonction de la modalisation, par le mensonge : comme « OUI » à un Autre et « NON » à Moi… ou l’inverse.

    Ce que je voudrais dire : le « diabole » qui dissocie la parole ne permet pas l’entrée dans la colère qui peut indiquer le dédoublement, certes, mais qui le symbolise aussi et autorise quelqu’un d’autre à en prendre la mesure - dans le transfert, par exemple. Non, le diabole, ce qui défait le symbole, jette dans la fureur aveugle. Souvent la fureur survient là où le dédoublement n’a pas pu se mettre en scène dans la colère. Se méfier de l’eau qui dort. Le diable ne sait pas se mettre en colère : il est mielleux ou furieux.

    Ce n’est que secondairement à ce travail que j’ai découvert dans les psaumes, et grâce à un ami, cette strophe :

    « Non, rien n’est sûr dans leur bouche

    et leur fond n’est que ruine,

    leur gosier est un sépulcre béant,

    mielleuse se fait leur langue » (Ps 5, v. 10).

    que l’on peut traduire plus littéralement :

    (Chiasme)            a. Rien dans leur bouche de ferme (précis, décidé, sûr)

    b. leur intérieur est ruine (coeur, entrailles)

    b’. tombeau ouvert, leur gosier

    a’. leur langue, ils la rendent mielleuse (pas ferme, glissante, ni « oui », ni « non »)

    Dans cette passe, de la diabolisation à la symbolisation, nécessairement se pose la question d’une parole qui parle d’un autre lieu que de celui des mots. Cet écart par rapport aux mots, ce décollement des mots dans un imaginaire qui, somme toute, s’est organisé pour préserver un retrait par rapport à la parole qui tue, ne vont pas sans fatigue, sans peur et sans colère.

    La fatigue extrême, la peur insoutenable, l’irruption inouïe de la colère sont de « bons signes ». Ils annoncent la question de la Parole qui parle. Ils annoncent que ça parle d’un autre lieu que celui des mots. Non pas sans eux. Mais sans être réduit à eux. Encore faut-il que le psychanalyste n’ait pas peur de la question ; car il me semble que la fatigue apparaît lorsque nous ne réussissons plus à nous rendre conformes à notre image, que la peur nous envahit quand nous ne savons plus à qui nous en remettre, que la colère se noue et s’exprime quand nous n’en pouvons plus de nous taire.

    À un degré ou à un autre, ce triptyque (chute de l’image de soi dans la fatigue, irruption de l’Autre dans la peur, accès à la parole dans la colère…) pose en termes de structure savante la question de la « castration » et, en d’autres termes, pour peu qu’on n’en ait pas peur, justement, celle de Dieu.

    Je veux dire, la question d’un autre écart que celui de l’imaginaire dédoublé où le jeu de mots peut toujours faire recette !

    Mais cette recette, nous l’avons dit, est de mort.

    La fatigue, la peur et la colère exprimées indiquent à la fois la résistance à ce qui parle en nous - au désir et la faille de cette résistance qui va céder sous la pression de ce qui arrive. Dès lors qu’elles peuvent se dire, qu’un témoin est là qui assure comme on assure en montagne - que ces symptômes ne sont pas l’annonce d’une destruction pure et simple et des autres et de soi, fatigue, peur et colère exprimées, entendues, médiatrices d’une parole originairement refoulée entre le sujet et l’Autre, font sauter le verrou de la colère rentrée qui maintenait au coeur du mutisme la peur essentielle de parler (cf. p. 21). Cette peur qui fait que la parole est de « trop », toujours excessive … et qu’elle ne peut pas être le lieu d’une rencontre, la marque d’une vie qui se donne.

    Denis VASSE

    psychanalyste

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  • http://www.pouvoirdespierres.com/lapis.php

    Personnelement, j'ai un doute. J'aimerais bien avoir des témoignages de personnes ayant constaté le réel pouvoir des pierres.


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    Coupe menstruelle

    Coupe menstruelle ou coupelle menstruelle: une protection féminine douce et qui respecte l'environnement. Une alternative économique aux tampons et serviettes hygiéniques.

    La coupe menstruelle s'insère dans le vagin pour recevoir les règles. Par sa forme et sa souplesse, elle se plaque sur les parois vaginales pour éviter les fuites. Elle est vidée de temps en temps et remise en place après l'avoir nettoyé à l'eau.

    Son côté simple et pratique lui rapporte un franc succès.

    Les femmes l'adoptent sans hésiter pour :

    Son confort
    Un grand effort a été fait dans la réalisation des coupes menstruellesLunacopine ou Meluna pour apporter souplesse et douceur. Moins longue qu'un tampon, elle épousera la forme du vagin une fois en place. Elle sera vite oubliée et vous pourrez maintenir toutes vos activités habituelles ou passer une bonne nuit de sommeil.

    La santé et l'hygiène
    • Pas d'agent blanchissant, ni de parfum, et elle n'assèche pas le vagin,
    • Ne touche pas le col de l'utérus,
    • Peut être stérilisée,
    • N'est pas souillée lors des mictions et peut rester en place,
    • Le syndrome de choc toxique n'a jamais été constaté.

    L'aspect économique
    La coupe menstruelle est vite rentabilisée face aux autres moyens généralement utilisés, bien entretenue elle peut vous servir jusqu'à 10 ans.

    Le respect de l'environnement
    Étant réutilisable, la coupelle menstruelle ne produit pas de déchet au quotidien. Elle limite la pollution à la production.

     


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